Dépression suite à une fracture de fatique

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Dépression suite à une fracture de fatique par Sab (invité) (217.167.147.xxx) le 12/04/06 à 16:11:14

Bonjour,

Mon mari est coureur depuis 17 ans maintenant. Cette année il voulait refaire le marathon de Paris et n'a pas pu car on a décelé une fracture de fatigue et un oedème au niveau de son pied gauche. Résultat des courses : cela fait 1 mois 1/2 qu'il ne court plus et il est arrêté jusqu'au mois de juin. Il fait du vélo pour compenser un peu son manque de sport mais il n'y trouve pas son compte. Cela fait un an environ qu'il a des petites douleurs mais qu'il arrivait à soigner avec de la kiné. Le facteur déclenchant a été une entorse au mois d'octobre dernier et ensuite il a enchaîné périostite, fracture de fatique, épanchement de sinovie au niveau de sa cheville...
Il ne va pas bien moralement et je commence à être désarmée face à une telle situation. Connaîtriez-vous une solution ? Il se renferme complètement, il ne dort pas, il ne mange pas... Il ne peut plus évacuer les tensions de tous les jours et cela joue sur notre relation de couple. Je voudrais l'aider. Y a-t-il un sport qui lui permettrait de compenser ? Merci pour toute aide

Dépression suite à une fracture de fatique par preveza (membre) (86.216.14.xxx) le 12/04/06 à 16:17:41

Bonjour à toi...difficile de donner des conseils comme ça; une première chose, surtout prends patience; la meilleure façon que tu aies de l'aider c'est de prendre sur toi (pas facile non plus!). Il faut qu'il persévère en faisant du vélo; il arrivera à avoir des sensations qui sont absolument bénéfiques et il ne perdra pas sa puissance en course à pied.

Dépression suite à une fracture de fatique par GGBI (membre) (80.11.16.xxx) le 12/04/06 à 16:20:02

Si il perd le sommeil, il devrais peu être consulter un medecin.

Un traitement médicamenteux contre la dépression pourrait peu être lui permettre de passer cette periode difficile.

Dépression suite à une fracture de fatique par raztaboule (membre) (84.96.112.xxx) le 12/04/06 à 16:23:39

natation , ça detend un max, en club pour avoir une progression et des entrainements structuré.

de la boxe + gants de frappe , un sac de frappe dans le garage, 30' tous les soirs ça calme .

Dépression suite à une fracture de fatique par Baltha (membre) (82.234.174.xxx) le 12/04/06 à 16:26:52

Les sports de complément ou de substitution que l'on cite souvent sont le cyclisme et la natation.

Une prise en charge thérapeutique peut être envisagée, préférer consulter un psychiatre qu'un généraliste qui ne fera que prescrire un traitement chimique. Le facteur déclenchant des syndrômes dépressifs de ton mari est le manque de sport, mais cache sans doute d'autres causes plus profondes.
N'hésite pas à me mailer en privé si tu as besoin d'adresses de spécialistes, en précisant la région.

A+ Baltha

Dépression suite à une fracture de fatique par preveza (membre) (86.216.14.xxx) le 12/04/06 à 16:44:30

Moi aussi je préconise la natation...en club c'est plus motivant...il faut vraiment éviter les médicaments mais c'est bien à lui de décider ce qu'il doit faire !

Dépression suite à une fracture de fatique par Long-distance-runner (invité) (83.197.12.xxx) le 12/04/06 à 17:11:00

j'ai 20 ans je cour depuis 5 ans et je suis triathlète. J'ai eu une fracture de fatigue au tibia l'année dernière je ne pouvait même plus trotiner et je boitait. Je me suis défoulé sur la natation qui était mon point faible mais même en nageant javait mal. Seul le vélo n'engendrait aucune sensation désagréable. bref quand on est passionné comme ton homme même avec la douleur on continue le sport. Pour la course a pied faut attendre de toute façon c'est impossible vu la douleur.
Moi j'ai eu de la "chance" parce que c'était durant toutes les grandes vacances que j'ai du arrêté donc je n'avait pas le stress des cours. c'est très difficile et faut pas se laisser aller.

Biz

Dépression suite à une fracture de fatique par SAM (membre) (83.156.192.xxx) le 12/04/06 à 17:24:20

slt Sab,

Pour moi, c'est la même chose, ce matin je suis allé à la clinique pour faire une échographie et une radio de mon molet gauche. Je traine une douleur depuis quinze jours et mon médecin du sport pensait que c'était une déchirure musculaire : les anti-inflamatoires n'y ont rien fait.

Résultat de ce matin : FRACTURE DE FATIGUE

Déjà 10 jours sans course à pied, le médecin voulait me plâtrer mais j'ai refusé, je préfére rester chez moi et en faisant attention de ne pas poser mon pied.
Il faut l'avouer, je déprime un peu surtout qu'il recommence à faire beau et j'en ai encore pour plus d'un mois sans sport.
Je ne peut pas faire de natation ni de vélo car ma fracture est situé sur le péroné juste en dessous du genou.

Je comprend ton mari de ne plus pratiquer son sport favori, je mange moins aussi (peur de prendre des kgs).
Je m'occupe comme je peux, ordi, films et surtout je continue à aller sur le forum de course à pied ou la je vois que je ne suis pas le seul dans ce cas. Cela me remonte le moral.

Sportivement
Sam

Dépression suite à une fracture de fatique par Paul (invité) (83.201.244.xxx) le 12/04/06 à 17:41:25

La vrai question est de savoir si l'arret de la course à pied entraine forcément de la dépression ?

Dépression suite à une fracture de fatique par Baltha (membre) (82.234.174.xxx) le 12/04/06 à 17:46:36

Nan. la vraie question est de savoir en quoi la course à pied nous masque les causes de la dépression.
Enfin c'est comme ça que je le vois.

Dépression suite à une fracture de fatique par ChristopheMontreal (membre) (69.70.39.xxx) le 12/04/06 à 17:50:59

Baltha ta question est intéressante... et probablement applicable dans certains cas... mais je pense que l'arrêt de cap peut dans certains cas justifier à lui seul la dépression pour certaines personnes très accros... A moins que tu ne considère qu'être trop accro soit précisément un problème, ce qui est effectivement une piste de reflexion intéressante !

Dépression suite à une fracture de fatique par Baltha (membre) (82.234.174.xxx) le 12/04/06 à 18:04:15

Oui, je considère que tu ne développes une addiction, quelle qu'elle soit, que pour te masquer un problème.
En ce sens un traitement médicamenteux sera une réponse à l'état de manque qu'a provoqué l'addiction, avec certainement des résultats palpables et rapides. Mais seul un vrai travail sur soi permettra de mettre un doigt sur le problème, et ça c'est plus dur, plus long, plus pénible.

Chacun fait ce qu'il veut avec ses névroses, après, c'est pas moi qui jetterai la première pierre.

A+ Baltha

Dépression suite à une fracture de fatique par Paul (invité) (83.201.244.xxx) le 12/04/06 à 20:26:07

Peut etre y a il aussi une question de fréquence entre celui qui court tous les jours et celui qui court trois fois par semaines, deuxième point baltha je pense que tua s raison quand tu dis que la course à pied peut masquer une dépression. ainsi, pourrait-on penser qu'une personne "psycologiquement saine" qui arrete la cap ne serait pas dépressive ?

Dépression suite à une fracture de fatique par durdurlavie (invité) (193.249.177.xxx) le 12/04/06 à 21:17:42

salut sab
j'ai 20 ans et j'ai eu une fracture de fatigue à la base du 5èm méta en octobre. J'ai arreté 2 mois puis la douleur est réaparu, donc encore arrret.... l'horreur pendant 6 mois avec comme ton marie des periostites...( est ce que tu saurais me dire ce qu'est un épanchement? )Brèf, j'étais réellemnt déprimé: je n'arrivé plus a assumer les cours, je n'arrivé pas a me concentré, la bléssure m'envahissé la tête, je m'énervé pour un rien et je voulais voir le minimum de personne. J'avais un sentiment d'injustice et j'avais l'impression d'en vouloir à tout le monde. Je me suis complètement renfermé sur moi même et c'était vraiment très dur et difficil à vivre.
En effet, nous avons une passion, qui est comme une drogue et lorsque l'on ne peu pas la pratiquer et que l'on voit ses objectifs s'écrouler, ça fait mal.
Je comprend tout à fait ton mari mais il faut savoir que l'on ressort toujours plus grand et plus fort de ces situation.
Cependant, je suis d'accord avec les autres sur le fait de consulter un medecin sur le fait qu'il ne mange plus et ne dore plus
COURAGE

Dépression suite à une fracture de fatique par eric8 (membre) (82.241.8.xxx) le 13/04/06 à 09:45:46

apres le semi de paris l'année derniere, je ne me suis pas arretter de courir au contraire j'ai doubler mon entrainnement en prevision du marathon de de paris cette année 13 mois apres le marathon de paris.deux ou trois mois apres j'étais lessivé, juin juillet j'ai rien fait c'est en septembre que j'ai commencer a faire de la marche a pied et en octobre que j'ai commencer a courir.

la marche a pied calme peu etre source de reflexion sur le temps qui passe et les erreures de parcours a ne pas refaire.ca peu etre aussi le temps pour se fixer des objectif realiste par rapport a une futur reprise et une planification d'entrainnement realiste qui tient compte de l'experience acquise.



Dépression suite à une fracture de fatique par Deepsky (membre) (86.204.103.xxx) le 13/04/06 à 20:58:00

Je recommence à peine à courir après avoir été blessé.Au début j'ai eu un coup de spleen. je pense que c'est une question d'hormones mais aussi notre capacité à faire le deuil de certaines choses qui est en jeu.
J'ai remplacé en partie le manque par le vélo et continué la muscu même en hiver par temppératures négatives dans mon grenier comme un con tout seul à soulever de la fonte.
De voir les gens courir ça me foutait les boules. Peu à peu, on s'y fait ce n'est tout de même pas la mort comme on dit surtout si comme moi on peut remplacer un peu.
C'est aussi l'occasion de se remettre en question et pas seulement au niveau course à pied, les blessures n'arrivent jamais par hasard. Courage.
Là je recommence à courir très lentement mais j'espère sûrement!

Dépression suite à une fracture de fatique par Didier D. (invité) (81.50.211.xxx) le 13/04/06 à 23:20:07

Je cours sur route depuis une trentaine d'années (1° marathon en 78), et je n'ai pas été épargné par les grosses blessures (opération d'un genou en 80;opération d'un tendon d'achille en 2000 et rupture quasi compléte de l'aponévrose plantaire droite en 2003. Malgé tous ces soucis, ajoutés à ceux que l'on peut rencontrer dans la vie courante, j'ai toujours gardé espoir de recourir.......et bien.
Aprés une grosse blessure, on revient plus fort et plus motivé qu'avant. A chaque fois que j'ai repris aprés mes blessures je me suis cru au bas d'une montage qu'il fallait regravir. Mais je n'ai jamais laché le "morceau". Dans la vie on a deux solutions lorque que cela ne va pas; soit on déprime, soit on fait ce qu'il faut pour redevenir plus fort.
Analyse tes erreures, fait du vélo, de la natation, de la muscu, métrise ton poid, et pense trés fort que tu va tous les "exploser" quand reprendra.
Toutes les blessures ce soignent. J'ai 47 ans et je fais encore entre 100 et 150 km par semaines.
Bonne guérison et A+ pour nous donner des nouvelles de ta reprise.

Dépression suite à une fracture de fatique par baba (membre) (80.70.39.xxx) le 14/04/06 à 09:13:56

Très dur pour les personnes qui ont un comportement addictif avec le sport. Je suis de cette catégorie. J'ai eu une fracture de fatique au niveau de la 5eme lombaire il y a 2 mois a peu pret, mon medecin m'a préconisé de ne pas courir le marathon de paris. Impossible lui ai je dis ! Alors il m'avais conseillé de ne pas courir au moins durant un mois. Chose faite ( avé natation et vélo quasi quotidien en remplacement - là le coté addictif -) les douleurs sont vite réapparues au début d'un programme de prépa marathon écourté à 6 semaines.
J'ai fais malgré tout Paris, 4h02, dégouté et déprimé je me suis retrouvé 2 j après la course. Une torture durant + de 30 km, voici le marathon de paris que me suis fais :(
Pourquoi raconté cela, juste pour dire que ce type de comportement - addictif - vis à vis du sport est souvent un moyen de cacher ou compenser autre chose - transfert -.
Pour ma part je suis ancien polytoxico ( alcool, thc, nicotine), ce que je planquais avec ces merdes, une partie je ne le planque plus l'autre je me sert du sport.
Le sport médicament cela existe :) Certain me disent extrémiste ( 15 à 20 h de sport /sem), mais pour ma part - mon médecin est ok aussi là dessus - c'est moins grave qu'avant.
Bonne journée
Baba

Dépression suite à une fracture de fatique par Yvan (invité) (86.206.221.xxx) le 14/04/06 à 09:26:33

Salut Baba, je pense qu'il est plus bénéfique pour toi d'être accro au sport qu'à toutes ces mer...

A+

Yvan

Dépression suite à une fracture de fatique par PetitGris (invité) (83.145.93.xxx) le 14/04/06 à 13:47:07

Personnellement je luis conseillerais de prendre une (ou plusieurs) maitresse. Ca lui changerais les idees et ca lui permetrait de retrouver une activite physique comme lors de ses 20 ans.

Mais sinon y'a pas de miracle soit il se trouve une autre occupation qui lui prend tout son temps, soit il va voir un toubib qui lui donnera un traitement a base d'anti-depresseurs, soit les deux.

Dépression suite à une fracture de fatique par eric8 (membre) (193.95.107.xxx) le 14/04/06 à 14:10:53

je pense qu'il est necessaire d'apprendre a etre capable de ne rien faire et de se sentir bien sans pour autant se lancer a corps perdu dans de multiples activités, prendre le temps de rever, de prendre du recul.

Dépression suite à une fracture de fatique par Montaigne (membre) (81.255.131.xxx) le 14/04/06 à 14:17:42

Bien d'accord avec toi, Eric.
Le monde devient assez frénétique, et on perd de vue la joie des choses simples, observées, ressenties dites ou faites avec calme et même lenteur.
Sans oublier le plaisir de ne rien faire, comme tu le dis.
Cette sorte de fuite en avant vers on ne sait pas quoi fait que pour certains le moindre arrêt est une catastrophe.

Dépression suite à une fracture de fatique par julien (invité) (82.123.83.xxx) le 14/04/06 à 14:26:31

ça fait du bien ce genre de réflexion, on se sent un peu plus léger, et même si on sait qu'on est un peu au piège dans ce flux incessant et stressant de cette P.... de société, on se pose un peu en lisant un message comme le tien Montaigne et on lache les renes ne serait-ce que quelques minutes!!!
keep goin' on
julien

Dépression suite à une fracture de fatique par Deepsky (membre) (81.51.16.xxx) le 14/04/06 à 21:10:57

Merci pour ta franchise Baba. Moi j'ai arrêté l'alcool et la clope. Au début j'exagérais avec le sport maintenant je me suis auto-régulé, j'en fais moins mais de façon peut-être plus efficace et diversifiée. Je pense que le sport est un premier pas. Trouves toi maintenant d'autres occupations valorisantes en sus pour compléter ton travail sur toi.
Le sport n'est pas que le sport, nécessairement on finit par s'intéresser à d'autres choses, nutrition, relaxation pourquoi pas etc...

Dépression suite à une fracture de fatique par eric8 (membre) (196.203.39.xxx) le 14/04/06 à 21:15:39

le lacher prise est important pour se régérer.

Dépression suite à une fracture de fatique par Deepsky (membre) (81.51.16.xxx) le 14/04/06 à 21:23:24

Quand on est en pleine dépression, le lacher prise est impossible.
c'est la dépression qui ne lâche pas prise.
Dans certains cas il faut une aide sinon la vie même devient impossible. Les médicaments ne sont parfois que la seule issue en cas de dépression tout au moins dans les premiers temps.

Dépression suite à une fracture de fatique par brinouille (membre) (81.57.250.xxx) le 14/04/06 à 21:24:42

Hello Sab, trouver un palliatif ! un autre projet pour combler le vide...un sport type natation, mais avec un objectif à atteindre ou dans un club, ou un projet qui n'a rien à voir, même pas forcément du sport, du bénévolat, un stage de secourisme ou autre chose...pourvu que ça le motive, et que ça prenne autant de place que la CAP !

Dépression suite à une fracture de fatique par eric8 (membre) (196.203.39.xxx) le 14/04/06 à 21:28:13

une dépression porte bien son nom une fois que la pression est partie le corp retrouve un equilibre normal...a moin d'etre un extra terrestre

Dépression suite à une fracture de fatique par invité (invité) (82.121.208.xxx) le 15/04/06 à 01:40:23

Tu semble confondre avec le mot "dépressurisation" qui lui a trait à la pression et à sa perte. Le mot "dépression" signifie affaissement, enfoncement. Concernant le mental, il s'applique à un état pathologique caractérisé par de la lassitude, du découragement, de la faiblesse, de l'anxiété.

Dépression suite à une fracture de fatique par eric8 (membre) (196.203.20.xxx) le 15/04/06 à 14:13:43

je pense que nous sommes beaucoup a etre" sous pression" pendant des années, de part les contraintes familial proffessionnel.

et un jour la depression arrive parceque 'on arrive plus a resisté a la pression alors meme que l'on se sentais normal. ce qui donne une impression d'enfoncement, alors qu'en faite on était monté trop haut en pression.

en reve cela peu se traduire par un sentiment de chutte dans le vide et qui reveille brutalement avant meme de toucher le sol.

tout dépend de la vitalité que l'on a se receptionner.

en ce qui me concerne cette nuit j'ai fais du ski sur une pente douce.

Dépression suite à une fracture de fatique par SAM (membre) (83.152.26.xxx) le 15/04/06 à 15:46:50

SLT

"cela fait 1 mois 1/2 qu'il ne court plus et il est arrêté jusqu'au mois de juin. Il fait du vélo pour compenser un peu son manque de sport mais il n'y trouve pas son compte".

J'ai su que j'avais une fracture de fatigue depuis le 12 avril, j'ai été un peu triste sur le coup mais bon, je me suis dit c'est un mauvais moment à passer et dans un mois voir un peu plus cela sera fini et je reviendrais en force à mon sport favori en éspérant retrouver les temps que je faisais.
Pour compenser la càp et maintenir la forme, j'ai trouvé un trés bon sport de substitution : LA NATATION depuis le 5 avril, j'y vais quasiment tous les jours en faisant de deux à trois kms par scéance (je met une éspèce de bouée entre les cuisses afin de ne pas me servir de mes jambes fracture de fatigue du péroné)
Mais recherches sur le net m'ont redonné le moral, la natation est un trés bon sport de substitution. Quand je serais rétabli, je pense que je vais inclure une scéance de natation par semaine.
Pour l'instant, je ne peut pas faire de vélo, j'ai éssayé mais je ressens la douleur alors je vais encore attendre, et dire que le médecin voulait me plâtrer heureusement que j'ai refusé, mais il faut dire le reste du temps je reste sage et je marche avec des béquilles quand même.

Bon rétablissement à tous ceux qui sont blessés et bon entraînement à tous les autres
Sportivement
Sam

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