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accidents par sudrunning (invité) (81.65.106.xxx) le 21/04/06 à 15:04:07

Bonjour,

Est-ce qu'une pratique trop intensive de la course à pied peut entraîner des risques accrus d'accidents du genre arrêts cardiaques ou ruptures d'anévrisme ?

Ou bien est-ce que ca n'a rien à voir ?

J'ai eu vent, à plusieurs reprises, de décès sur des courses à pied, et je me demandais à quoi c'était dû ?

La pratique intensive peut-elle être une conséquence ?
Ou ces accidents sont-ils d'abord liés aux personnes en cause ? (ces accidents touchent aussi bien des personnes expérimentées qu'inexpérimentées)

Désolé, je suis totalement inculte sur la question...

accidents par Frédéric (membre) (193.252.43.xxx) le 21/04/06 à 15:07:13

Il y a eu quelques très rares accidents mortels (Marathon du Mt-St-Michel 2005, Marseille-Cassis 2005, Paris-Versailles 2003, Humarathon en 2003 ou 2004).
ƒred

accidents par Frédéric (membre) (193.252.43.xxx) le 21/04/06 à 15:08:13

Serge Vigot également, président de l'organisation du marathon de La Rochelle, décédé à la fin du marathon de Marrakech en janvier 2005.
ƒred

accidents par pi (invité) (213.163.171.xxx) le 21/04/06 à 15:08:35

... souvent dûs à la chaleur ou a une condition physique limite

accidents par sudrunning (invité) (81.65.106.xxx) le 21/04/06 à 15:10:54

ok, merci pour ces précisions...donc rien à voir avec la pratique intensive ?

Il est vrai que les trails ou autres ultras comme le marathon des sables, avec plusieurs distances marathons chaque jour, n'ont pas l'air touché...

accidents par pi (invité) (213.163.171.xxx) le 21/04/06 à 15:13:32

les coureurs ont tellement de bénéfice spar rapport aux sédentaires question santé CDV, qu'ils y en a très peu qui ont des accidents, sauf dans les conditions physiologiques limites. mais je n'ai jamais entendu parler d'accidents chez qqun sans pathologie particulière qui aurait eu un accident de par la pratique intensive de la CAP

accidents par Frédéric (membre) (193.252.43.xxx) le 21/04/06 à 15:15:21

Je ne sais pas si on a établi un lien entre la pratique sportive intensive et ces décès au cours d'une compétition.
Il me semble que pour les cas cités il s'agissait de coureurs réguliers.
ƒred

accidents par pic75 (invité) (89.83.245.xxx) le 21/04/06 à 15:18:03

pour Marseille-Cassis, il s'agissait d'un des nombreux militaires à faire la course, donc a priori qqu'un d'entrainer (légionnaire en plus je pense)

accidents par Frédéric (membre) (193.252.43.xxx) le 21/04/06 à 16:54:39

Si tu es inquiet(e) tu peux effectuer un test d'effort chez un médecin équipé, hôpital ou centre médico-sportif.
ƒred

accidents par marathonman (membre) (80.118.218.xxx) le 21/04/06 à 18:57:34

Il y a aussi pas mal de décès chez les coureurs du dimanche (1 fois par semaine)...

accidents par invité (invité) (82.121.223.xxx) le 22/04/06 à 04:19:26

Statistiquement, il meurt beaucoup plus de personnes dans leur lit que durant la pratique de la course à pieds. Un anévrisme peut céder à tout moment. Les accidents de course ne doivent pas être des freins à la pratique du sport.

accidents par l'ourse (invité) (86.193.11.xxx) le 22/04/06 à 09:47:03

et pensez à ce pauvre Félix Faure... s'il faut arrêter toutes les activités susceptibles de provoquer un accident... ;o)

accidents par herb (invité) (81.255.223.xxx) le 22/04/06 à 11:57:22

en fait ce sont des évènements très rares mais qui frappent l'opinion puisqu'il surviennent chez des gens qu'on imagine en parfaite santé.

accidents par CecileM (membre) (134.158.92.xxx) le 22/04/06 à 16:45:00

Le nombre d'accidents mortels en course a pied reste infime par rapport au nombre des pratiquants.
Je crois qu'il faut rester prudent en cas de chaleur (surveiller son cardio) et se refoidir la tete avec de l'eau.
Mais la course a pied est meme conseillee aux gens souffrant de problemes cardiaques (avec une pratique d'endurance).
Et de toute facon, meme en comptant tous les petits bobos qui nous arrivent de temps en temps, les coureurs a pied contribuent globalement a reduire le defficit de la secu.
Cecile

accidents par l'ourse (invité) (86.193.11.xxx) le 22/04/06 à 16:51:05

si on veut raisonner en termes de probabilités, je pense plus souvent à l'accident en montant dans ma voiture qu'en chaussant mes baskets !

accidents par (invité) (84.100.168.xxx) le 22/04/06 à 17:41:33

Attention, danger!

par Paul Miquel

Fractures de fatigue, hernies discales, accidents vasculaires... Vouloir entretenir son corps n'est pas sans risque. C'est en tout cas ce que pense le Dr Stéphane Cascua. Qui l'explique dans un livre

Le sport est-il bon pour la santé? La question semble saugrenue, tant la réponse paraît évidente. Et pourtant... Chaque année, en France, l'effort physique provoque le décès brutal - la «mort subite» - de 1 500 sportifs en pleine forme. Véritable «usine à hypertension», le sport peut donc s'avérer dangereux pour le cœur. La preuve? Il suffit d'une petite anomalie vasculaire cachée pour que le marathonien occasionnel succombe sous les effets d'une hémorragie cérébrale. Vous êtes sportif? Prenez garde! Votre squelette est malmené par la pratique athlétique: fractures de fatigue, écrasement des cartilages, usure des articulations, hernies discales, lombalgies, entorses, etc. L'intestin? Même régime. Votre tube digestif est très secoué, voire déréglé, pendant la course à pied. Pis, chez les femmes, l'excès de sport peut provoquer des aménorrhées, des décalcifications précoces et perturber la fertilité. Enfin, le sport peut être vécu comme un stress psychologique. Exagération? Non, les symptômes du surentraînement ressemblant à s'y méprendre à ceux de la dépression nerveuse.

Alors, le sport et la santé font-ils vraiment bon ménage? Rien n'est moins sûr. Médecin spécialisé à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris, et au centre de formation du Paris-Saint-Germain, le Dr Stéphane Cascua répond à cette question dans un livre pratique, Le sport est-il bon pour la santé?, chez Odile Jacob (1). Construit en neuf chapitres truffés d'exemples scientifiques, ce «petit manuel d'école du cirque», destiné aux sportifs funambules qui jouent, sans le savoir, avec leur santé, se veut résolument pédagogique. «J'ai voulu dévoiler les méfaits méconnus du sport et donner des recommandations, explique le Dr Cascua. Il faut distinguer entre les dangers d'une pratique intensive en vue de la compétition et les bienfaits du ''sport santé".» Malgré les redondances et l'absence de développements spécifiques sur les pathologies tendineuse (tendinite, tennis-elbow) et musculaire (claquage, élongation), le Dr Cascua a bien compris que le mot «sport» était désormais polysémique, puisqu'il englobe des pratiques aussi diverses que le sport de masse, le sport professionnel ou le sport santé.

«Ce qu'on appelle communément ''sport" rassemble en réalité des pratiques extrêmement diverses, confirme Isabelle Queval, professeur de philosophie et ancienne tenniswoman de haut niveau, ex-membre de l'équipe de France junior dans les années 80. Il y a, d'une part, l'éducation physique et, d'autre part, le sport purement compétitif.»

A consommer avec modération
Cette antinomie, qui colle à l'appellation générique «sport», est porteuse de contradictions. Idéologiques, bien sûr, mais aussi médicales. «On ne peut vouloir à la fois le bien et le mieux, poursuit Isabelle Queval. Dans le monde sportif, il me semble qu'on ne peut chercher à atteindre à la fois ces deux idéaux si représentatifs, pourtant, de notre époque: la santé et la performance.» Si le champion est prêt à «se faire mal» pour une médaille (citius, altius, fortius), le sportif lambda recherche davantage le bien-être (mens sana in corpore sano). L'ouvrage du Dr Cascua s'adresse à cette seconde catégorie de pratiquants.

L'auteur montre notamment comment naissent les clichés sur les bienfaits du sport. Pour le système cardio-vasculaire, tout est parti d'une étude, menée dans les années 50, sur les employés des transports publics londoniens. «Le Dr Jeremy Noah Morris mettait en évidence le fait que les chauffeurs présentaient plus souvent des crises cardiaques que les contrôleurs, note Stéphane Cascua. Il en déduisait qu'il était bon pour le cœur de déambuler dans les couloirs et surtout de monter l'escalier pour gagner le premier étage des fameux bus rouges.» Ainsi, petit à petit, le sport est devenu l'ami du cœur. Pourtant, statistiquement, le risque d'infarctus est multiplié par sept au cours d'une pratique physique. Et, pour un sportif occasionnel, cette probabilité est 56 fois plus élevée! Pis: chez les adeptes de l'exercice physique, l'âge moyen de la mort subite est de 47 ans - contre 60 ans pour les autres catégories. Responsables de 85% de ces accidents mortels: les atteintes coronariennes. «Une crise cardiaque fatale ne se produit qu'au bout de 1,2 million d'heures de pratique physique, précise toutefois le Dr Cascua. A raison de trois heures de sport par semaine, cela représente sept mille sept cents ans d'entraînement!» Pas de panique, donc.

Le dos des athlètes est aussi mis à rude épreuve. La spondylolyse - fracture de fatigue de l'arc osseux à l'arrière des vertèbres - se retrouve chez 3% des sédentaires, contre 9% pour les tennismen et 30% pour les gymnastes. Par ailleurs, 68% des judokas souffrent d'ostéochondrose vertébrale, une douleur aiguë des os situés à l'avant des vertèbres. Les cavaliers ne sont pas mieux lotis. «Parmi ceux qui ont commencé à monter à cheval avant 8 ans, ils sont 66% à présenter des fissures vertébrales, souligne l'auteur. Les cavaliers amateurs en sont porteurs dans 34% des cas, alors que 7 professionnels sur 10 en sont victimes.» Idem pour les hernies discales: 1 volleyeur sur 2 souffre d'une hernie ou d'un écrasement discal, mis en évidence par IRM (imagerie par résonance magnétique). Et le Dr Cascua de rassurer ses futurs clients: «L'ampleur des dégâts est plus corrélée à l'âge des sujets qu'au nombre d'années de pratique. Une étude récente n'a pas permis de montrer que le sport favorisait la survenue de hernies discales.»

Finalement, le sport: on doit en consommer avec modération. «Il est bon pour la santé dans la mesure où il est pratiqué de façon adaptée, selon les possibilités physiologiques de chacun, résume le Dr Gilbert Pérès, directeur du département de médecine sportive à la Pitié-Salpêtrière. Et, depuis quelques années, j'ai l'impression qu'il y a une amélioration médicale de la pratique sportive.» Dans cette optique, la féminisation du sport à outrance apparaît inquiétante. «L'absence de règles se montre fréquente chez les athlètes surentraînées», remarque le Dr Cascua. Les chiffres: de 20 à 40% des danseuses, de 40 à 50% des coureuses de fond, 70% des cyclistes et près de 90% des gymnastes en souffrent. Et pourtant on sait que, chez les femmes, les œstrogènes augmentent pendant l'effort. «Si l'entraînement hebdomadaire ne dépasse pas 40 kilomètres», précise le Dr Cascua.

Pour limiter les risques, il faut pratiquer une activité d'endurance (jogging, vélo ou natation) de trente minutes à une heure, trois fois par semaine, à environ 75% de ses capacités cardio-vasculaires. Et ce pendant toute la vie. Un condensé des conseils que le Dr Cascua prodigue à certains de ses patients... ces sportifs du dimanche qu'il récupère encore trop souvent à l'hôpital.

accidents par eric8 (membre) (196.203.20.xxx) le 22/04/06 à 17:51:02

oui et bien je pense qu'en m'entrainnant trois heures par jour je vais ameliorer mon temps au marathon de paris 2006

accidents par (invité) (84.100.168.xxx) le 22/04/06 à 17:56:41

moi aussis je ne suis pas raisonnable ...

accidents par eric8 (membre) (196.203.20.xxx) le 22/04/06 à 18:00:14

moi je crois plutot que je suis brillant. parceque je refflechi

accidents par (invité) (84.100.168.xxx) le 22/04/06 à 18:01:57

toutes mes felicitations.

accidents par julien (invité) (82.123.222.xxx) le 22/04/06 à 18:05:45

@ l'ourse.

Etonnant personne n'a relevé!!!!
Sacré Félix!!
Belle mort quand meme ;-)))

accidents par CecileM (membre) (134.158.92.xxx) le 22/04/06 à 18:07:11

Salut l'invite,

J'ai toujours pense que les medecins avaient quelques problemes avec les probas -:).
Le risque d'infarctus multilie par 7 en cas d'activite physique ??? Comment est calcule ce risque ? Si on compare une population sedentaire a une population sportive reguliere, il est evident que le nombre d'infractus sera beaucoup plus eleve dans le premier groupe ( et dans ce cas, la dite activite physique dangeureuse n'aura pas ete une soudaine pratique sportive mais surement seulement une montee simple d'escaliers).

Tout le monde est d'accord sur le fait que le sport de haut niveau n'est pas favorable a la sante. Mais le sport regulier et j'ajoute meme d'une intensite minimum (car, de mon cote j'ai lu des etudes qui montrent qu'il faut solliciter un minimum le systeme cardiovasculaire pour avoir des benefices, donc pas seulement faire la promenade dominicale a allure de senateur) a des liens directs avec une bonne sante. Les etudes sur sport et prevention de l'obesite , aussi du cancer sont multiples. Diminution aussi des problemes psychiques, donc moins de consommation d'antidepresseurs, reduction de la consommation d'alcool ou du tabac (pour ces derniers exemples, voir les temoignages sur le forum).

Cecile

accidents par Baltha (membre) (81.57.220.xxx) le 22/04/06 à 18:11:02

A 25 ans, non sportif, j'avais régulièrement des maux de dos et mon coeur au repos battait à 68. La course, avec la réduction de poids qui en découle, m'a libéré de ces douleurs et mon palpitant est juste au dessus de 40 au réveil. Au cours des efforts physiques que demande mon métier je suis beaucoup moins fatigué qu'avant.

Le docteurs Casua doit avoir quelquechose à vendre aux non-sportifs.

A+ Baltha

accidents par eric8 (membre) (196.203.20.xxx) le 22/04/06 à 18:16:49

au fait baltha, est ce que tu penses que tu vas faire le marathon de paris en 2007?

accidents par (invité) (84.100.168.xxx) le 22/04/06 à 18:17:28

"Finalement, le sport: on doit en consommer avec modération. «Il est bon pour la santé dans la mesure où il est pratiqué de façon adaptée, selon les possibilités physiologiques de chacun."

Ca me parrait sensé ...

accidents par eric8 (membre) (196.203.20.xxx) le 22/04/06 à 18:20:22

pas plus de trois heures par jour pour moi, je sais me moderer.

accidents par (invité) (84.100.168.xxx) le 22/04/06 à 18:21:06

encore bravo.

accidents par CecileM (membre) (134.158.92.xxx) le 22/04/06 à 18:25:01

Oui, et c'est Gilles Peres qui le dit et qui a je pense une bien meilleure reputation dans le milieu medical et sportif que ce Dr Cascua.
L'important a retenir est qu'en ce qui concerne les problemes de sante publique, il est bien plus urgent de diffuser le message "Faites du sport" que de dire "N'en faites pas trop" car ce dernier message aura toutes les chances d'etre retenu par les adeptes des apres-midi canape-tele plutot que par les quelques sportifs excessifs.
Cecile

accidents par (invité) (84.100.168.xxx) le 22/04/06 à 18:27:24

"Pour limiter les risques, il faut pratiquer une activité d'endurance (jogging, vélo ou natation) de trente minutes à une heure, trois fois par semaine, à environ 75% de ses capacités cardio-vasculaires. Et ce pendant toute la vie."

ca veut dire faites du sport, non ?

accidents par eric8 (membre) (196.203.20.xxx) le 22/04/06 à 18:29:56

ca peu faire beaucoup pour quelqu'un qui n'a pas l'habitude, c'est ca le probleme

accidents par bernard (invité) (81.53.166.xxx) le 22/04/06 à 18:31:14

Félix, mais aussi le cardinal Daniélou ...dans l'épectase Même au théâtre Molière y a eu droit (pour lui ce n'était pas classé X )

accidents par brinouille (membre) (81.57.250.xxx) le 22/04/06 à 18:34:21

Il a pas tord sur le surentrainement et la pratique du sport en fonction de "son profil"....combien de posts sur le forum totalement déraisonnables concernant la vitesse de progression, les courses trop rapprochées, la pratique sportive sur blessure.... faut quand même reconnaître que nous voyons dans la CAP ce qu'on veut bien y voir et faisons l'impasse sur tout ce qui pourrait nous freiner dans notre pratique et progression.

entre la capoeira, le hand et la CAP, j'ai quand même laissé un budget conséquent partir chez les médecins, radiologues, osthéopathe, podologues et kiné....je pense que j'en aurais laissé beaucoup moins en ayant une pratique sportive raisonnable sans stage de capoeira, sans matchs de hand & sans courses à bloc. ceci dit c'est pas ça qui va me changer, ou alors faut que je me mette au valium...

accidents par cyril (membre) (82.242.178.xxx) le 22/04/06 à 18:37:22

Il est difficile de trouver de véritables études statistiques, comment savoir si l'échantillon de sportifs sur lequel a été menée l'enquête est assez important pour faire une moyenne?
Les accidents à l'effort font souvent la une des journaux, il y a aussi régulièrement des gens qui succombent d'un arrêt cardiaque dans la rue, j'ai malheureusement eu connaissance de 2 cas de ce genre il y a peu, c'etait des personnes très jeunes, arrêt cardiaque.

Quoi qu'il en soit je préfère pas me pose de questions, je cous pas pour être en bonne santé mais parce que ça m'apporte plein de choses et que j'ai bcp de mal à m'en passer.
J'avais lu un livre écrit par un cardiologue américain (des les années 80 je crois) qui était vraiment très négatif envers le sport et la course à pied en particulier(bien plus abrasif que le livre du Dr Cascua qui finit finalement sur une note positive quant-à la pratique du sport).

Par contre je pense qu'autour de 3 h par jour et de façon régulière il y a tout de même un risque de blessure irreversible à long terme, il faut tout de même savoir se modérer je pense, mais chacun fait ce qu'il veut.

à+

accidents par eric8 (membre) (196.203.20.xxx) le 22/04/06 à 18:40:46

tiens justement brinouille tu me fais pensé que je vais chercher un ostheopathe en tunisie si il yen a un ca serra moins cher.

accidents par eric8 (membre) (196.203.20.xxx) le 22/04/06 à 18:43:15

pour moi 3 heures par jours en plus du boulot .

accidents par MariedeLyon (invité) (86.193.40.xxx) le 22/04/06 à 18:45:52

Hier, quand je suis allée retirer mon dossard, on nous a donné un tract qui parlait d' un coureur de 49 ans qui avait eu en 2004, un accident cardiaque en faisant les 10 kms de Lyon.
Actuellement, ce coureur est dans le coma, hospitalisé en continu.
Les assurances considèrent que ce problème cardiaque est un accident de la vie, non dû à la course.Donc, la famille n' a eu aucune indemnité...
Je voulais juste vous faire part de cela.C'était un aparté.
Marie
nb : notons qu'un infarctus sur le lieu de travail,n' est pas considéré comme un accident de travail.

accidents par MiMi (invité) (158.64.111.xxx) le 22/04/06 à 19:28:47

Lorsque je travaillais aux urgences je voyais plus de personnes ne faisant pas de sport, ne sachant pas se protéger contre un stress élevé, ayant une consommation excessive d'alcool et/ou de tabac, ayant un peu (beaucoup) de surpoids avec une tension artérielle et des taux de cholestérol élevés arriver avec un infarctus que des sportifs avec une hygiène de vie correcte, sans surpoids, avec une tension artérielle et des bilans lipidiques normaux. Mais hélas il y en a malheureusement, mais on peut réduire les risques...
Bien que l'on voit des patients avec infarctus de plus en plus jeunes et cumulant de plus en plus de facteurs de risque.

MiMi

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