MDP : ca a pris du temps mais voilà mon récit...

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MDP : ca a pris du temps mais voilà mon récit... par laurent77 (invité) (194.2.91.xxx) le 24/04/06 à 16:47:53

Bonjour à tous,

J'ai beaucoup aimé lire vos récits du MDP. J'ai tapé le mien y'a 1 semaine mais j'ai pas eu le temps de le poster avant.

Voilà, si ca peut rappeller de bons souvenirs à certains. Pour moi ca reste grandiose. Au fait, c'était le premier, à 24 ans.

L’histoire
Je suis un coureur depuis maintenant environ 3 ans. Mon niveau est très modeste, pour vous donner une idée : 10km - 49min, Semi - 1h51, Marathon - Just Do It.
L’idée de faire un marathon est venu comme pour beaucoup : relever un challenge assez élevé. Il y a 3 ans, courir 10km était vraiment dur, j’ai fait mes premières courses en 1h05 et l’idée de voir cette progression jusqu’au marathon m’a convaincu.
Ensuite, c’est l’expérience humaine. J’avais assisté au marathon de Londres avec cette foule et cet engouement. Il faut le vivre pour le croire.

L’entrainement
Celui-ci a été un peu chaotique, et surtout incomplet avec un peu de recul.
J’ai suivi un programme « freestyle » pendant environ 2 mois. Rien n’était organisé, et je courais lorsque j’avais le temps. Mon rythme était de 3 sorties par semaine, voire 4 lorsqu’on se rapprochait de l’objectif.
Pendant ce programme, j’ai fait quelques courses :
- maxi cross de Pacé (35): une course mémorable de 28km où on a fini dernier avec Fabien en 3h09.
- Semi-marathon de Paris : tout seul, j’ai eu beaucoup de mal : 1h56.
De plus, j’ai forcé un peu sur mon corps dans les 2 dernières semaines précédant le marathon, j’ai eu droit à un début de tendinite sur chaque genoux. J’ai vu ma kiné 3 jours avant le jour J, pour une remise en place des genoux. La douleur apparaissait après 1h30 dans les sorties, mais étaient très vives. Bref, je me suis aligné au départ avec quelques inflammatoires et 3 jours de glace sur les genoux.

Jour J
Levé très tôt à 6h30, j’enfile mon short, mon T-shirt et tout le matériel qui avait été soigneusement préparé la veille. Je prends le RER, déjà rempli de coureurs, un peu stressé. Je rencontre 2 habitués du marathon (~3h30 avec peu d’entraînements et quelques marathons à leur actif) qui engagent la conversation et me rassurent car je suis assez angoissé : « Faut pas t’en faire, si t’as fait ce temps sur le semi, ça sera du gâteau… ». Je ne les crois pas un instant, mais c’est toujours agréable à entendre.

On sort de la bouche de métro, je retrouve mon ami, ses parents et sa copine. Quelques photos pour immortaliser le moment.
Nos T-shirt sont assez légendaires de par sa customisation : un simple T-shirt de running blanc, 7€ à Décathlon.

Devant :
- « Starsky », Fabien avait « Hutch », forcément.
- Un souvenir pour une amie qui nous a quittés
Derrière :
- 1er marathon : on se dit qu’on aura des encouragements de la part d’autres coureurs.
- Insa de Rennes : notre école, et nos origines bretonnes

Départ
C’est impressionnant, on nous a pas menti, on est beaucoup. C’est assez festif à l’arrière du peloton. On s’arrête pour faire son « pipi » sur les Champs Elysées. On voit des femmes faire la même chose en plein milieu de l’avenue. Ce n’est pas choquant dans un marathon. On franchit la ligne à 9h03, soit 18min après le coup de feu. Il y a quelques détritus par terre, ce qui fait même chuter quelques coureurs dès les premiers kilomètres.

L’aventure commence…
Les premiers kilomètres passent, on se met dedans, ils nous servent d’échauffement. On commence à se rendre compte de l’ambiance, de la foule, des encouragements. On croise des américains, des chinois, des italiens, des mexicains, c’est très sympa. On arrive à Bastille, pour le premier ravitaillement. Tout va bien. Je suis constamment l’état de mes jambes, tout va bien. Petit bonjour à mon père au km6.
On est dans un rythme de sénateur, l’objectif est uniquement de finir. Le rêve aurait été de faire 4h, mais avec les jambes dont j’ai hérité on est réaliste.
On passe le Km10 en 1h05. On rentre dans le bois de Vincennes, et là ça tire énormément sur mon mollet droit. Je me mets sur le côté pour m’étirer, mais la douleur reste.
Les genoux commencent à faire mal, ça tire et je ne peux pas vraiment lever les jambes bien hautes. Je suis assez inquiet pour la suite.
La traversée du bois de Vincennes se passe malgré tout dans la bonne humeur. On découvre beaucoup de bretons dans le peloton, des personnes ayants faits ou connaissants des personnes à l’Insa. Ca fait plaisir.
On re-rentre dans Paris par la porte de Charenton. On y est, c’est le marathon de Paris : la route fait 2 mètres de large, pas facile pour passer parmi la foule. Je me crois dans la montée de l’Alpe d’Huez dans le tour de France, c’est franchement le pied. Le public est au rendez vous et on se sent littéralement porté. On voit la copine et les parents de mon ami, ils courent quelques 10 aines de mètres avec nous. Le moral est au top, on oublie le mal aux jambes.
On passe au semi en 2h11.
Je crois mon père au km 24, tout va très bien. On repique vers les bords de la Seine, la souffrance commence à apparaître. Le public est là et nous porte toujours autant, mais après 2h30 de course on sent qu’on rentre dans quelque chose de grand. On passe le km 28, et on se rend compte qu’on n’a jamais dépassé cette distance dans notre petite carrière de joggeur.

A partir de maintenant c’est que du bonus. Cette pensée nous fait un bien fou.
On voit la tour Eiffel en ligne de mire, mais elle apparaît vraiment loin. Ici je me rappelles une anecdote d’un ami marathonien : Il a couru le MDP pour la première fois en 4h10, en arrivant près de la tour Eiffel il était tellement mal qu’il n a pu la voir sur les quelques kilomètres où on passe devant. Forcément, je parle et je pense :
« Je l’ai vu, elle est là, on ne risque pas de la perdre de vue ».

On passe au ravitaillement du km 30 en 3h07 : Beaucoup de coureurs sont arrêtés, prennent leur temps. Le sol est aussi très sale : jonché de peau de banane et d’eau. Je suis plutôt encore bien, je ne veux pas perdre de temps alors je slalome parmi les coureurs. Et là, c’est la chute, je me renverse – tel un domino - en perdant mes appuies. Deux coureurs m’aident à me relever. Résultat des courses : les jambes fonctionnent toujours bien, ouf ! J’ai juste toute la jambe droite, ainsi que le T-shirt plein de boues. Ca rajoute un peu du style guerrier au marathonien que je suis en train de devenir.
La course continue, et la difficulté grimpe encore. Je commence à avoir le souffle un peu court, les muscles des jambes complètement raides et les genoux ne se plient plus beaucoup. On est au km 35, le seul plaisir restant est de voir l’arrivée se rapprocher. Je commence à avoir des montées émotives en moi, d’un seul coup je me mets à chialer comme un gosse pendant plusieurs secondes. Je ne sais pas vraiment si je me rends compte que nous rentrons dans quelque de grandiose ou que la douleur est trop forte.
Cela devient terrible, je ne sais pas ce que je fais là : avec mon ami, on est plus capable de s’encourager, plus capable de relativiser en se disant que c’est presque fini. C’est insoutenable, je ne me souviens pas avoir souffert physiquement autant dans ma vie. On dit toujours qu’à ce moment là c’est le mental qui joue, mais si au niveau physique on entre dans un certain niveau de douleur le mental accepte plus rien du tout.
Je réfléchi, je gamberge mais je cours toujours. On arrive au début de la boucle dans le bois de Boulogne, c’est dur de voir les gens de l’autre côté être si proche de l’arrivée.
On passe devant le stand sur le marathon du médoc, ou on a quand même bien ri en entendant : « Le beaujolais nouveau, la boisson officiels des marathoniens ». Dans mon état de déliquescence, cela m’a donné un demi-sourire.

La douleur et la souffrance reviennent, le vrai calvaire est là depuis déjà quelques km.
Au Km 39, je laisse mon ami partir et me met à marcher. 3 mois de préparation, 6 mois de motivation, tout s’écroule à 3 km de l’arrivée. La marche est très dure, en marchant je souffre autant qu’en courant, je n’avance plus du tout. Les spectateurs m’encouragent, essayent de me relancer mais rien y fait je suis totalement carbonisé. Emotionnellement, je m’écroule, je pleure, je suis faible. Physiquement, je me refroidis et un petit vent n’aide vraiment rien. Je me dis qu’en marchant l’arrivée n’arrivera jamais et que je finirais mort de froid avant. La bataille est toujours là.
Au km 40, un petit sursaut d’orgueil me motive à courir 200m mais je retombe dans mes travers.
Km 41, l’arrivée est au bout de la ligne droite. Je me remets à courir, j’accélère et je finis le dernier km en courant fièrement. Je passe la ligne d’arrivée en 4h49.

Jusqu’au 30iéme km, j’étais dans des temps de 4h20 et les 10 derniers km ont été vraiment tonitruants. Avec un peu de recul, j’ai pris complètement le mur au Km 35.
Je retrouve mon pote, qui lui est arrivée en 4h37. On est fier, on est beau, on est marathonien.
A l’arrivée, je fais un petit passage à la tente « Croix-rouge ». Les tendons des genoux font tellement mal. J’ai droit à la petite bombe de froid. Lorsque je vois un mec criant de douleur à côté dans la tente, ça me motive, je ne suis pas le moins bien portant.
On retrouve amis et famille dans la partie des coureurs, et on s’oriente vers la tente des massages. Bref, vous comprenez que je retrouve un peu de lucidité. Cette tente ressemble à un camp de soldat se faisant soigner après un combat. Des blessés, des abîmés en veux tu en voilà.

On rentre simplement chez nous en voiture avec une longue et belle histoire : 4h49 à raconter. Au niveau des jambes, je me sens plutôt bien 1h à peine après l’arrivée. Bien sur, j’ai du mal à marcher mais il n’y a pas de casses.
Niveau physiologique, j’ai attrapé froid : j’ai une méga angine que je me suis traîné toute la semaine suivant le marathon.
Le lendemain et le surlendemain, les jambes tirent. Mais surtout, je suis épuisé et complètement déshydraté. Je bois 3 litres d’eau ces 2 jours là. Mais maintenant tout va bien.

Pour conclure, ce marathon a été quelque chose de grandiose, exceptionnel, une formidable aventure humaine, un public génial, et un challenge très difficile à réaliser. La déception d’avoir marcher en fin de marathon s’estompe vite, je suis tellement fier d’être marathonien ou « finisher ». C’est quelque chose que j’ai enfoui en moi, et cette fierté est très positive. Cela apporte aussi beaucoup d’humilité : le travail paye.

Ca va sentir un peu le réchauffé, mais je veux remercier :
- le public de Paris, énorme.
- Fabien, mon collègue de marathon
- Gilles, mon entraineur à Paris.
- Solenn, ma kiné officieuse
- Mo, les parents de Fabien, tout le monde… et ceux qui ont eu la flemme et qui croyaient nous voir à la tv avec les kenyans.

MDP : ca a pris du temps mais voilà mon récit... par TITEMARIE (membre) (217.128.185.xxx) le 24/04/06 à 17:01:04

bravo !il est super ton CR et tu t'es dépassé c génial
on sent bien toute la douleur physique et morale que tu as endurés mais maintenant ca y est tu es marathonien !

encore bravo !! :-)

Marie

MDP : ca a pris du temps mais voilà mon récit... par floflo (membre) (213.36.10.xxx) le 24/04/06 à 17:10:33

J'en ai le frisson... je veux le faire aussi !! enfin l'année prochaine, y a encore du boulot..

MDP : ca a pris du temps mais voilà mon récit... par Moha (membre) (62.23.98.xxx) le 24/04/06 à 17:10:59

Super CP, ça me rapelle mon premier MDP, ou j'avais trouvé le moyen de me tordre la cheville au 2e kilo et une deuxième fois la même au 30e, résultat 4h33 et beaucoup de larmes mais 3 ans après et 6 marathons terminés toujours autant de plaisir.

Bravo et bienvenue au club.

MDP : ca a pris du temps mais voilà mon récit... par laurent77 (invité) (194.2.91.xxx) le 24/04/06 à 17:45:10

Merci pour vos avis, ca fait plaisir ;)

MDP : ca a pris du temps mais voilà mon récit... par Boblastar (invité) (81.255.139.xxx) le 24/04/06 à 17:56:19

Bravo !
Honnêtement vu la chaleur beaucoup auraient (et ont) abandonné.
Et tu connais la distance donc tu l'appréhenderas plus facilement la prochaine fois (ou alors tu la redouteras car tu sais désormais que c'est difficile :-)

MDP : ca a pris du temps mais voilà mon récit... par Wallaby (membre) (82.125.219.xxx) le 24/04/06 à 17:58:55

Bravo à toi et bienvenue dans le cercle des marathoniens. La famille s'aggrandi d'année en année!

MDP : ca a pris du temps mais voilà mon récit... par manu95 (membre) (84.103.198.xxx) le 24/04/06 à 19:42:27

Félicitations à vous. Au plaisir de vous croiser l'année prochaine ;-)

MDP : ca a pris du temps mais voilà mon récit... par Martine11 (membre) (81.67.105.xxx) le 24/04/06 à 19:52:56

Bonjour Laurent 77
Bravo pour ton premier marathon, ce beau cr qui nous fait revivre tant d'émotions.
J'imagine bien l'angoisse au trentième quand tu es tombé!!!
Martine

MDP : ca a pris du temps mais voilà mon récit... par Urban runner (invité) (86.71.38.xxx) le 24/04/06 à 20:53:55

j'en peux plus de lire des CR aussi forts... ca me donne tout de suite envie de m'inscrire sur le prochain 42,195km du calendrier alors que je viens tout juste de récupérer de mon MDP!!

J'en suis pourtant à mon 5ème et ca me fait encore ca! Décidément j'en ai pas encore fini avec le marathon!

A vous 2, Laurent et Fabien, Bravos! Vous vous êtes battus comme des braves!! Force et honneur Marathoniens!

MDP : ca a pris du temps mais voilà mon récit... par Delphine (membre) (86.72.97.xxx) le 24/04/06 à 21:11:12

Coucou,

Laurent, un grand bravo pour ce premier marathon. Mais tu sais, on s'est parlé en course. Je ne sais pas si tu te rappelles: tu as croisée une "gamine" comme dirait l'autre, au début du marathon. la "gamine" c'est moi qui t'es dit: "tu t'es entrainé! C'est ton premier mais ça va aller". Je me rappelle très bien de ce moment car en fait plus on était souvent non loin de vous. ET je me disais dans mon fort intérieur: "Ces étudiants! Chapeau bas!" Parce que quand j'étais étudiante, je crois que je n'aurais jammais pu affronter de front études et marathon.
Donc double bravo!

Delphine

MDP : ca a pris du temps mais voilà mon récit... par aLain_W15 (membre) (83.204.133.xxx) le 24/04/06 à 23:22:05

merci et bravo,
cela donne la chair de poule..

aLain_W15

MDP : ca a pris du temps mais voilà mon récit... par laurent77 (invité) (194.2.91.xxx) le 25/04/06 à 09:36:27

Salut Delphine,

Je ne pensais retrouver des gens rencontrés au mdp sur ce forum. Par contre, j'avoue que je ne me souviens plus du tout de toi ou de cette gamine :-). pourquoi dis tu gamine ? tu es petite ou tu es toute jeune :-) ? C'était à quel km à peu pret ?

C'était tellement long que j'ai du mal à me souvenir de tout ce qu'il s'est passé.
Et pour les autres ca fait chaud au coeur de vous lire, et de voir ces messages d'encouragement. C'est qd meme un truc pas banal de faire un marathon ! Sans trop tomber dans le mec qui se la joue, je suis assez fier de le dire ou de porter le fameux Tshirt bleu ;)

Sinon, à la fin de la course j'étais tellement que je me souviens avoir dit que c'était le 1er et le dernier. Maintenant, avec Fabien on parle déjà d'en faire 1 seconde... comme quoi on a gardé que les bonnes choses et pas les grosses souffrances de ce MDP ! ;)

MDP : ca a pris du temps mais voilà mon récit... par Sophquipeut (membre) (194.151.14.xxx) le 25/04/06 à 11:59:42

Un INSALIEN, incroyable, je croyais qu'ils ne fréquentaient que le foy' et qu'ils détestaient tous Paris ! lol
Bravo pour ta course c'est fort d'avoir fait ça.

MDP : ca a pris du temps mais voilà mon récit... par Urban runner (invité) (86.71.38.xxx) le 25/04/06 à 12:17:49

Je suis pareil avec tous mes tee shirts de marathon... j'en prends un soin quasi religieux, meme s'ils sont bardés de pubs et pas spécialement beaux (laids meme dirait ma cop), je les mets volontiers même pour aller au ciné ou pour aller faire des courses! c'est ptet beauf mais c'est vraiment pas grave pour moi!
En plus ca permet de faire des rencontres très sympa: un jour dans le métro, un gars portait son tee shirt mdp et moi aussi... forcément on s'est regardé, un signe de tête,
2 phrases: Ca a été? Bien récupéré?... et ca a suffit pour qu'on se raconte notre course comme 2 grands potes qui se connaissent depuis toujours. Alors qu'habituellement à Paname... personne n'accoste jamais personne dans le métro!

MDP : ca a pris du temps mais voilà mon récit... par Fanfan (invité) (82.224.239.xxx) le 26/04/06 à 21:14:35

Super CR, féliciations de la part d'un autre Insa Rennes Capeur et Parisien !!

MDP : ca a pris du temps mais voilà mon récit... par Sophquipeut (membre) (82.170.123.xxx) le 26/04/06 à 22:02:10

que d'insaliens allez les gars balancez vos années et vos promos GC, Méca, INFO ?

MDP : ca a pris du temps mais voilà mon récit... par Delphine (membre) (86.72.97.xxx) le 26/04/06 à 22:11:51

Coucou,

Laurent si je te dis que du haut de mes 32 ans, on m'a encore appelée "Mademoiselle" ce soir...LOL! La CAP ça conserve.
je crois que c'est aux environs de Vincennes qu'on s'est causé. Je ne sais plus exactement mais je suis sûre que c'est avant le semi. Enfin po grave hein! le principal c'est ton marathon.

Delphine

MDP : ca a pris du temps mais voilà mon récit... par Fanfan (invité) (82.224.239.xxx) le 26/04/06 à 22:39:40

Ouh là je vous parle d'un temps que les moins de 20 ans ...
François, Insa Rennes GE 94

MDP : ca a pris du temps mais voilà mon récit... par Sophquipeut (membre) (82.170.123.xxx) le 26/04/06 à 22:48:40

Pour moi c'était une visite éclaire à l'INSA de Rennes l'année dernière avant de retourner dans ma bonne fac parisienne, l'air était trop pur, M Belmiloudi aussi... Un an en nanomatériaux MNT 4 (anciennement GP)

MDP : ca a pris du temps mais voilà mon récit... par laurent77 (invité) (194.2.91.xxx) le 27/04/06 à 09:38:07

Urban runner, elle est cool ton expérience. Je suis parisien à la base et des rencontres dans le métro j'en ai pas fait des masses :). Si la CAP rapproche, c'est super.

Moi aussi je vais en prendre bien soin de mon Tshirt du MDP. Je crois que je vais le remettre pour d'autres courses, les gens ont accroché sur "Starsky" et "Hutch" !!! :) Par contre, j'ai peur qu'en le lavant, les inscriptions partent (j'ai utilisé de l'indélébile mais bon...). Et je suis obligé de le laver, car aprés ma chute au km 30, il est marron d'un coté :).

Delphine tu as du parler au grand chauve (Fabien) qui était avec moi. Moi j'étais le petit plus gros :). C'est vrai peu importe, mais ca me fait bien plaisir que tu nous ai reconnu !!!

Dommage que tu sois pas restée Sophquipeut. Malgré ton passe éclair, t'as du qd meme profiter de l'ambiance INSA

D'autres Insa ?

Sinon, allé l'Insa, allé la liche allé allé !
Laurent INSA Rennes - INFO 2006

MDP : ca a pris du temps mais voilà mon récit... par Schlitz (invité) (213.41.184.xxx) le 27/04/06 à 10:52:07

INSA Lyon ... 95

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