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pendant un trail on ne court pas tout le long ? par jerome62 (invité) (84.4.21.xxx) le 22/04/07 à 23:25:02
c'est une question que je me pose j aimerai faire un trail ou m entrainer pour en faire un je court en ville d'habitude 5 km en 25 minutes 10 kms en 55 minutes je suis lourd tres lourd je pese 100 kgs donc c'est pas trop mal je trouve je fais beaucoup de randos pedestre 10 12 20 kms 2 ou 3 fois par semaine a rythme tres rapide en terrain escarpé j habite le 62 appelé injustement le plat pays car il faut avoir fais Lorette Vimy le mont St éloi pour le savoir...ce n est pas si plat...
j aimerai jumelé les deux : courir en pleine nature faire des mini trail pour commencer et qui sait evoluer vers du plus costaud..voila ma question coure t on tout le long dans un trail ? car quand je regarde des repotages sur les trail les gars se font les cotes en marchant aidé de batons faut-il faire ça ? toutes les montées en marchand avec batons ? les descentes faut il s aider de batons pour menager les cuisses et les genoux ? courir uniquement sur le plat ?
merci
pendant un trail on ne court pas tout le long ? par Castor Junior (membre) (82.121.4.xxx) le 23/04/07 à 06:17:42
Salut,
En fait, la proportion marche/course sera d'autant plus importante que l'on sera sur un trail escarpé, avec beaucoup de d+ cumulé et, surtout, de pentes très raides.
Elle sera également plus importante aussi dans la fin du classement que dans le début (sauf cas de marcheurs extrêmement rapides).
Ensuite, et surtout vu ton poids, l'utilisation de bâtons serait probablement une très bonne chose, afin de soulager tes articulations et, notamment, toute la zone du genou.
Ton approche, à savoir les mini-trails, est probablement la meilleure.
N'oublie pas, cependant, de toujours vérifier précisément le profil de la course avant de t'y inscrire : en débalisant et en fermant le circuit court du trail d'Auffargis début avril, j'ai rencontré deux dames qui réalisaient douloureusement ce que pouvait vouloir dire 700 m de D+ sur 16 km. L'une court, sur route, à peu près à ton rythme...
à+
L'Castor Junior
pendant un trail on ne court pas tout le long ? par Runningirl (invité) (82.126.131.xxx) le 23/04/07 à 08:31:27
Bonjour,
Pas un grand passé de "trailleuse", mais qqs expériences sur des petits trails et un long...
Je pourrais juste te répondre qu'il faut savoir rester humble face aux montées accidentées et "pentues", à savoir que la marche peut être appréciée. Il faut juste tenter de garder un rythme soutenu.
Alterner course et marche semble inévitable, mais je ne parle pas pour les "cracks" qui eux sont capables de tout encaisser en courant tout le temps...
Amicalement,
RG
pendant un trail on ne court pas tout le long ? par jerome62 (invité) (84.6.57.xxx) le 23/04/07 à 21:29:51
merci pour vos reponses je vais me tester en pleine nature sur du 8 ou 10 kms tres escarpé moitie montée moitié descente je vais m acheter une paire de batons et je repasserai vous dire mon chrono vous me direz si c'est correct...
merci
a +
pendant un trail on ne court pas tout le long ? par Psionman (invité) (82.126.46.xxx) le 23/04/07 à 21:57:27
tiens voici quelques passages tirés d'un PDF de raidlight...
"L’effort est aussi généralement moins soutenu. Dans les longues
montées, 80% des coureurs… « marchent », et même si cela semble
plus difficile, le rythme cardiaque est inférieur de 20 à 30 pulsations.
Les descentes permettent aussi de récupérer. Sans pression du
chrono, on prends aussi plus le temps de profiter des paysages.
L’herbe ou la terre battue des chemins est aussi beaucoup moins
traumatisante articulairement que le bitume."
Donc, tu ne seras pas le seul à marcher ;) (on sera au moins deux)
"Liberté de courir pour profiter des paysages, des forêts, des plaines, des
champs, des montagnes, vers une philosophie presque « écolo-sportive ».
Sortons du bitume des centre-villes pour respirer le grand air ! Liberté aussi de
courir sans le chronomètre qui revient tous les kilomètres nous harceler et nous
rappeler les lois physiques de la pesanteur... Bien entendu qu’il y a un chrono et
un classement, mais le terrain changeant, l’itinéraire plus ou moins roulant, le
dénivelé, font que l’on ne peut plus comparer les temps d’une course à l’autre
même sur des distances identiques.
Convivialité : plutôt que de discuter chrono, on en vient avec ses compagnons
de route à discuter de la petite traversée du ruisseau, du panorama avant la
crête… autour d’un bon repas d’après course, où l’organisateur aura mis un
point d’honneur à servir les spécialités du terroir local."
là, c'est le passage qui me plait...
bonne course
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