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mes 24 h de Brive - récit de course par jc (invité) (80.11.126.xxx) le 28/05/09 à 18:19:52
Mes 24 heures de BRIVE
21 / 22 mai 2009
Ce n'est pas tous les jours qu'on fait le pont. Cette année, pour l'Ascension, oui. Il n'en faut pas plus pour me décider de participer aux mythiques 24h de Brive. Décision prise 3 semaines avant la date fatidique.
Le 7 avril, j'avais couru avec 3 frangins et mon fiston le marathon du pôle Nord par -37°C sur la banquise arctique et surtout à la vitesse de 7 km/h en moyenne, et je me dis que ce marathon fut finalement une excellente sortie longue à allure objectif! Comment récrire l'histoire à sa façon! On se rassure comme on peut...
J'enchaîne quand-même plusieurs sorties à allure lente, en alternant course et marche, parfois au coeur de la nuit, et jusqu'à 3 heures en continu. Les sensations sont bonnes. Je suis réellement rassuré.
J'ai un compte à régler avec un certain chiffre: 113 km. C'était au 24h de Lombez en septembre dernier, j'étais un peu resté sur ma faim, bloqué des heures par une tendinite qui m'avait obligé à marcher 15h. Ma vengeance est proche.
Je me donne pour objectif 144 km: 8h à 7km/h de moyenne, 8h à 6km/h et 8h à 5km/h (temps de sommeil compris, le plus court possible évidemment). Vous pouvez recalculer, ça fait bien 144 km. Simple, non? Surtout sur le papier, d'ailleurs.
Mercredi 20 mai, minuit trente. Impossible de fermer l'oeil dans le studio de ma fille à Bordeaux. Je me lève et en avant, direction Brive-la-Gaillarde. J'y arrive à 2h45 du matin. Je gare discrètement ma voiture entre camping-cars et tentes, on dirait que ça dort ferme en prévision d'une loooooooongue journée de course, un double tour d'horloge comme on dit. Il faut que je dorme, et vite, mais je fais tout de même une petite reconnaissance du circuit: hmmm, il a l'air croquant à souhait, tout beau tout neuf, avec ses belles barrières et rubalises, c'est vrai qu'il faut aimer ça, j'avoue. Bon maintenant dodo, sinon mon rythme circadien va en prendre un coup.
7h30. J'ai dormi 4h. Pas besoin de réveil: des portières claquent, les premiers coureurs s'ébrouent, essais de sono, allées et venues des organisateurs et bénévoles, je n'ai plus le droit de dormir, il faut que j'entre dans la fête! Je rencontre et discute avec des coureurs, tiens lui c'est Momo c'est sûr, elle c'est la nouvelle championne de France, etc. Sympa.
Petit déj' collectif dans la salle Georges Brassens, récupération des dossards – j'avais demandé le n° 25 comme au pôle Nord, ils me l'ont donné, c'est cool - , photo de groupe au théâtre de verdure – la photo qui servira de support au diplôme personnalisé - , essai des puces électroniques sur les 2 dossards. Chacun aménage son espace personnel dans la zone ravitaillement réservée aux coureurs et à leur(s) accompagnateur(s); une table et deux chaises pour deux coureurs. Super bien organisé. On sent que les locaux s'y connaissent, d'ailleurs Brive a accueilli plusieurs fois les championnats de France, et peut-être un jour prochain les championnats du monde, qui sait?
10h00. Coup de pistolet. 98 circadiens dont 15 circadiennes s'élancent gaiement sur le tour mesuré à 1024 m. Faute d'officiel de la FFA, on s'en tient à ce chiffre. Mais vers 6h du matin on nous annoncera que le parcours a été remesuré et fait officiellement 1015 m, et chacun se voit amputé de 1 à 2 km, pas de quoi remonter le moral après 20 h de course!
Les premières foulées vont vite nous réchauffer puisqu'à 11 h il fait déjà au moins 26°C et l'après-midi va confirmer cette température. Damned, 63° de plus qu'à mon dernier marathon !
De timides épongeages localisés, on passe rapidement à l'aspersion générale, casquette dégoulinante sur la tête! Ce qui n'empêche nullement les premiers de mener un train d'enfer à 12,5 km/h. Ah les malades, ah les grands malades! Ils vont tout droit au casse-pipe. Quant à moi, je prends immédiatement mon allure décidée à l'entraînement, pas question de me faire avoir comme un bleu, même si mon ambition kilométrique est très modeste. Je ferai comme j'ai décidé, point barre.
Vers le 10ème tour de circuit, je lance à l'incontournable Gérard Dehu: « T'en es à combien de 24h courus? »
146
C'est ton 147ème 24h alors!
Ben non, pas tout à fait
Comment ça?
Ben il n'est pas encore fini!
Sacré Gégé! Quand on pense que le lendemain il part pour Villennes en courir un autre!!
Je passe la distance marathon en 5h59 pour 6h prévues, pas mal! Et même pas mal! Nulle part. Pile 7 km/h de moyenne. Encore 2h comme ça et je réduis à 6 km/h. C'est parfait. Les litres de Maxxe biopulse font merveille sur mon organisme. Cette nouvelle boisson testée au pôle est vraiment très digeste et donne la pêche. Ah non pardon c'est à l'orange. J'ai la banane. Pourvu que je ne tombe pas dans les pommes...
La chaleur fait ses dégâts, la zone kinés podos commence à se garnir, dans la nuit ce sera pire. Quelques longs arrêts de coureurs déjà, quelques tergiversations, sur 24h on ne sait jamais trop comment on va pouvoir gérer ses douleurs. Je tiens compte ou je méprise? Entre les deux mon coeur balance, mais surtout mon esprit doit décider. Pas facile d'avoir un regard objectif. Telle douleur est-elle « normale »? Est-ce que ça va passer ou empirer? La douleur c'est mental, la douleur n'est qu'un signal... ah la la, on en entend des choses...
Comme à Lombez, vers 8-9 heures de course je sens que mes tendons releveurs du pied sont douloureux. Pas bon signe, j'avais dû stopper pendant 4h l'an dernier. Pour mon voisin de table récent vainqueur des 100 km de Belvès, c'est pire. Il sera contraint à l'arrêt complet, son pied a enflé mais pour un premier 24h il totalise 170 km, joli !
Finalement la douleur s'estompe, masquée aussi par de nouvelles douleurs: des ampoules. Les ampoules et moi, on se connaît bien. Au temps où je débutais en alpinisme, il m'est arrivé d'en cumuler 16 aux deux pieds. Je suis un grand sensible...
Donc là, je méprise. C'est clair.
La nuit tombe progressivement. Les promeneurs laissent la place aux zonards, pas toujours d'une grande finesse...
« Pardon, on double à droite! »
Tiens, voilà Jean-Claude et son guide qui me dépassent. Jean-Claude est aveugle. Il courra plus de 160 km et fatiguera plusieurs accompagnateurs. Impressionnant.
15h35 de course, 100 km au compteur, enfin disons à ma montre puisque le compteur officiel a quelques défaillances. Du reste, quelques instants plus tard, c'est ma montre qui me plante lâchement: écran vide, la première fois en 4 ans! Puis voilà le lecteur MP3 qui n'a plus de batterie. C'est une conspiration! En plus, à 1h35 du matin, ce ne sont pas les spectateurs qui encouragent, ni le speaker dont le volume vocal a bien baissé. Je suis passé aux 100 km pile dans mes objectifs. J'ai vraiment sommeil maintenant. Allez hop, je recourrai plus vite, plus tard. Je m'accorde 1h15 de « sieste » dans ma voiture, rangeons quelques instants la carcasse dans la caisse.
75 minutes et quelques rêves bizarroïdes plus tard, je reviens sur le circuit, en boitillant et un peu groggy, il est 3h du matin. Encore 7h de course, j'ai 44 km à effectuer pour rentrer dans mes objectifs, ça sera dur. Les « plus de 200 km » tournent régulièrement, allez JC faut y aller, direct en courant. Contre toute attente, je reprends assez facilement. Mais assez vite mes douleurs aux pieds me rappellent à l'ordre, et bizarrement, c'est quand je marche que j'ai le plus mal. Alors je me remets à courir – on est là pour ça non? - et je « m'arrête au stand » tous les 2 ou 3 tours, direction la chaise et les pieds sur la table. Nouvelle distribution des cartes: désormais je vais courir entre 8 et 10 km/h et m'arrêter de longues minutes tous les quarts d'heure à peu près. J'en profite pour passer quelques sms.
Quand je constate que j'ai dépassé 113 km, je suis content: tout ce qui sera en plus sera du bonus par rapport à ma dernière marque. Je réévalue quand-même mon objectif: 130 à 135, ce sera déjà bien.
Dans les dernières heures, au petit jour dont le retour est toujours un vrai moment de bonheur, des spectateurs revienennent, les magasins rouvrent, ça sent le poisson de nouveau, les coureurs relancent. En tête de course il y a du nouveau: Hervé Bec longtemps premier est dépassé par Michel Olchewski qui gagnera ce 24h (son premier), avec 221 km. Côté féminin, Karine Herry distance Sylvie Peuch mais souffre beaucoup sur la fin, on l'entend arriver derrière soi, chaque pas est ponctué d'un râle caractéristique et sa foulée est plus que rasante, frottante je dirais. Mais elle fera 213 km. Quelle abnégation!
Xavier désormais arrêté me lance dans la dernière demi heure: « allez, tu peux faire encore 3 tours! ». J'en ferai 4 !
10h00. Triiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiit ! C'est fini. On nous l'avait bien dit! Bien fait pour nous.
Chacun reste à sa place et dépose son dossard.
137 km, je suis satisfait. Le diplôme indiquera 136 km, ultime provocation! lol
Les deux heures qui suivent, je les redoute... les douleurs remontent, marcher devient un calvaire. Mais je m'en sors assez bien, pas trop de bobos, et même moins qu'à Lombez. Les premiers sont carrément destroyed: Michel a besoin de 2 personnes pour le soutenir, et pour monter ou descendre les marches du podium, là c'est mission impossible!
Après la remise des prix et diplômes, les discours habituels, le cocktail, il me faut reprendre la voiture. Non sans m'être mis les pieds sous l'eau froide, rafraîchi, changé. La douche sera pour plus tard, pas le courage de rejoindre l'hôtel prévu à cet effet.
A peine un quart d'heure de route et je ne peux résister à l'endormissement malgré la musique, la clim froide plein pot et les bonbons. Entre Brive et Bayonne via Bordeaux, je m'arrête 3 fois pour une sieste éclair.
Après c'est que du bonheur, comme on dit toujours.
Au fait, il dit quoi le calendrier? C'est quand le prochain?
jc
mes 24 h de Brive - récit de course par (invité) (200.95.242.xxx) le 28/05/09 à 20:23:54
Salut, félicitations.
C'est normal de prévoir une baisse de vitesse d'entrée de jeu et de ne pas viser une allure régulière en fonction de l'objectif ?
mes 24 h de Brive - récit de course par jc (invité) (82.255.78.xxx) le 28/05/09 à 20:33:44
Oui c'est normal. C'est un vrai challenge que d'arriver à partir à une allure "faible".
Il est illusoire et sans doute contre productif de garder la même allure tout au long d'un 24h. Mais il faut essayer de s'en rapprocher. Partir sur une moyenne horaire supérieure (à l'allure moyenne totale) de 1 à 1,5 km/h semble optimal.
Mais beaucoup de coureurs partent trop vite et divisent par 2 voire plus leur vitesse au fil des 24 heures (pauses comprises bien entendu, on parle de vitesse moyenne à l'heure).
C'est très difficile de courir lentement. C'est pourquoi forcément au départ on court un peu plus vite, après les douleurs contraignent à la réduction d'allure et/ou au repos ou marche.
L'an dernier, j'ai passé la distance marathon en 5h40 pour totaliser 113 km.
Cette année je passe 20 minutes plus tard au marathon et finis avec 136 km. CQFD.
mes 24 h de Brive - récit de course par Bozo (invité) (91.91.185.xxx) le 28/05/09 à 20:52:44
Félcitation JC et Merci d'avoir partagé ta course avec nous !
Bozo
mes 24 h de Brive - récit de course par arno 58 (invité) (81.49.245.xxx) le 28/05/09 à 22:27:39
respect à toi jc
mes 24 h de Brive - récit de course par (invité) (200.95.225.xxx) le 29/05/09 à 00:15:12
jc : finalement il y a un point commun entre le 800 mètres et le 100 bornes... qui l'eũt cru ?
mes 24 h de Brive - récit de course par (invité) (200.95.225.xxx) le 29/05/09 à 00:16:03
et le 24 heures je voulais dire, bien sûr
mes 24 h de Brive - récit de course par BrunoHeubi (invité) (86.192.200.xxx) le 29/05/09 à 07:14:15
Bravo JC !!
@ invité :
C'est normal de prévoir une baisse de vitesse d'entrée de jeu et de ne pas viser une allure régulière en fonction de l'objectif ?
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Oui
Voir ici : http://www.brunoheubi.com/entrainement/perfstrategie24h.htm
mes 24 h de Brive - récit de course par david (invité) (79.84.147.xxx) le 29/05/09 à 07:19:41
allure régulière c'est réservé à l'élite mondiale notamment bruno heubi !!!!! brigitte bec ( ah quelle coureuse à bergame)
il est où bruno?,
respect jc 24 h c'est très très long
mes 24 h de Brive - récit de course par electronedf (invité) (192.54.193.xxx) le 29/05/09 à 10:18:56
136,159 km
Bravo JC !! belle performance !
mes 24 h de Brive - récit de course par (invité) (192.223.158.xxx) le 29/05/09 à 10:22:16
très beau récit !
ce qui m'impressionne le plus c'est de conduire après ça !
mes 24 h de Brive - récit de course par BrunoHeubi (invité) (90.47.39.xxx) le 29/05/09 à 10:23:20
Bruno Heubi est à Ste Gemme où il organise une petite course sans prétention (http://boucles.brunoheubi.com/)et c'est Brigitte Bec qui est la marrainne.
Une façon de lui rendre hommage ainsi qu'à toutes les filles du 24 heures
Et toi t'es où David ? ;-)
mes 24 h de Brive - récit de course par jc (invité) (80.11.126.xxx) le 29/05/09 à 13:05:41
Je n'ai pas bien saisi le point commun entre le 800m et le 24h... humour ou réalité cachée?
On m'aurait menti?
J'ai raté quelque chose?
mes 24 h de Brive - récit de course par Fredos (invité) (89.81.10.xxx) le 29/05/09 à 15:02:06
136 km sur 24H, ça correspond à quoi sur marathon?
4H00, plus...?
mes 24 h de Brive - récit de course par jc (invité) (80.11.126.xxx) le 29/05/09 à 15:11:15
env. 10 km/h sur 42195 donc +-4h
env. 8 km/h sur 100 km 12h30
env. 6 km/h sur 24h (75% de la vitesse sur 100k)
mes 24 h de Brive - récit de course par jc (invité) (80.11.126.xxx) le 29/05/09 à 15:16:48
Mais c'est la capacité à endurer et gérer ses douleurs qui est primordiale, plus que le temps sur les distances nettement plus courtes. Il ne se passe pas du tout les mêmes choses sur 24h. Par exemple il n'y a pas de "mur", on s'alimente tout le temps, on reconstitue au fur et à mesure.
mes 24 h de Brive - récit de course par Fredos (invité) (89.81.10.xxx) le 29/05/09 à 15:19:46
Je me basais un peu sur les records du monde:
24H: 300 km, 136 c'est + de 50% moins vite
Marathon: 2H03, 50% moins vite c'est donc environ 4H10
mes 24 h de Brive - récit de course par faber (invité) (83.113.117.xxx) le 29/05/09 à 16:06:12
Bravo!!!!
et merci pour ce récit...
mais si j'ai bien compris pour un 24 h, tu cours sur le m^me trajet???
ça n'est pas trop ennuyeux???
tu dis qu'il n'y a pas de mur??? mais effectuer le m^me trajet pendant 24 h... je reste impressionné!!!
encore bravo
mes 24 h de Brive - récit de course par jc (invité) (80.11.126.xxx) le 29/05/09 à 16:34:12
Je pars 3 jours, désolé je ne répondrai plus avant lundi soir. Bonnes courses.
Oui c'est un circuit, 1km environ, très pratique, c'est un domaine très spécial le 24h.
jc
mes 24 h de Brive - récit de course par david (invité) (79.84.147.xxx) le 29/05/09 à 19:22:09
salut bruno
moi je me remet de mon premier marathon (qui est aussi ma première course sic!!!!)
je l'ai fini c'était mon objectif (j'ai suivi ton plan du livre)
et aujourd hui à lacanau (33) à la plage eh oui 29°c
mes 24 h de Brive - récit de course par (invité) (200.95.229.xxx) le 29/05/09 à 20:47:29
jc : je n'ai pas bien saisi le point commun entre le 800m et le 24h... humour ou réalité cachée?
Dans le 800 m on fait aussi la première partie plus vite que la seconde, en règle générale.
mes 24 h de Brive - récit de course par momoVH3 (invité) (80.9.199.xxx) le 29/05/09 à 22:34:59
BRAVO JC, beau CR et belle course. Ravi d'avoir partagé ces moments de grande convivialité avec toi et tous les autres hamsters.
mes 24 h de Brive - récit de course par BrunoHeubi (invité) (86.192.203.xxx) le 29/05/09 à 22:56:36
Super content David que le livre t'ai permis d'atteindre tes objectifs.
Récupère bien ;-)
Tu as de la chance d'être à Lacanau
Je rêve d'habiter de coin de France
Bruno_ki_ira_en_semaine_de récup_après_l'Intégrale
mes 24 h de Brive - récit de course par JP75018 (membre) (82.224.218.xxx) le 29/05/09 à 23:43:23
Bravo JC,
Tu as déjà une belle maîtrise pour ton 2ème 24H! A quand le 3ème?
JP
mes 24 h de Brive - récit de course par david (invité) (79.84.147.xxx) le 30/05/09 à 08:11:08
salut bruno
tu as raison l'Aquitaine est une superbe région ( pas la seule en France bien entendu)
dixit un breton (moi) c'est pas peu dire sic!
tu vas venir dans la région bordelaise?
bon choix
on se croisera peut être au détours d'un parc ou d'une plage (si c'est pour de la récup!!!!)
bonne fin de préparation ça va être long!!
mes 24 h de Brive - récit de course par jc (invité) (82.252.3.xxx) le 02/06/09 à 23:44:19
@ JP75018
Le prochain sera très vraisemblablement fin septembre, pour les Virades de l'Espoir contre la mucoviscidose, "comme d'hab" (Brive excepté).
En solo si je suis en forme et selon les circonstances, ou bien en équipe "Mucojorétapo" pour une troisième victoire consécutive obligatoire, malades obligent !!
mais il n'est pas impossible que je me frotte à un 100km entretemps, on verra ça dans qq semaines, après les trails d'été.
jc
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