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Bilan 1er marathon (attention roman !) par Ecololo (membre) (109.26.223.xxx) le 18/10/21 à 10:02:04
Bonjour à tous,
Ayant pioché pas mal d’informations utiles sur ce forum, je me dois de vous faire un petit CR de mon 1er marathon, couru hier à Paris.
Quelques éléments de contexte tout d’abord : je viens d’avoir 50 ans, je pratique sérieusement la course à pied depuis 3 ans après des années en mode « coureur du dimanche ».
Ado, j’étais très mauvais en sport (genre celui qui court le moins vite de la classe) mais j’ai toujours aimé courir. J’ai ensuite pratiqué quelques années le cyclisme mais j’ai arrêté quand j’ai quitté ma province pour m’installer en proche banlieue parisienne il y a une vingtaine d’années.
Depuis, j’étais donc coureur du dimanche : quand il faisait ni trop froid, ni trop chaud, ni trop humide et que je n’avais rien d’autre à faire, j’allais courir une dizaine de kilomètres en un peu moins d’une heure (56-57mn).
En 2018, suite à un challenge dans mon entreprise, je m’inscris à mon premier 10 km (celui de Paris) que je termine en 54mn30, épuisé. A ce moment, un ami m’envoie un article du fameux « Running addict » : Courir lentement pour courir plus vite. C’est une révélation ! Je m’achète une montre GPS, me documente et commence à m’entrainer 3 fois par semaine.
6 mois plus tard, deuxième 10km, couru cette fois en 49mn30. Dans l’euphorie, je m’inscris à mon premier semi en mars 2019. Je le termine en 1h51 mais avec 20k800 à ma montre GPS : le semi ne devait pas faire la distance officielle que j’aurais sans doute bouclée en 1h54-1h55. Ensuite, j’enchaine à nouveau avec un 10km couru en 48mn et poursuit ma progression avec les 20 km de Paris courus en un peu moins d’1h45 en octobre 2019.
Entre temps, j’ai fait une grosse bêtise : suite à la proposition d’un jeune voisin, je me suis inscrit avec lui pour le marathon de Paris 2020 alors que j’ai lu partout qu’il n’était pas conseillé de s’inscrire à un marathon avant au moins deux ans de pratique régulière de la course à pied. Mais bon, c’est fait et il faut assumer. Début janvier 2020, j’attaque donc ma première préparation marathon. Tout se passe plutôt bien et je dois valider ça lors d’un semi préparatoire début mars 2020. Semi qui sera finalement annulé la veille du départ pour la raison que vous savez. Quelques jours plus tard, le marathon est annulé à son tour et nous passons tous en mode confiné. Je poursuis tout de même mon entrainement jusqu’au 5 avril 2020 en adaptant le plan sur les toutes dernières semaines pour respecter les contraintes du confinement.
Après une coupure de quelques semaines pendant la fin du confinement, je reprend l’entrainement et, comme la plupart d’entre vous, suis sevré de compétitions pendant plus d’un an. Mais j’ai toujours cette perspective du marathon en tête et poursuis ma préparation dans cette perspective.
En juillet dernier, je démarre donc à nouveau un plan de préparation avec un bon espoir que cette fois sera la bonne. Par miracle, pas de canicule cet été et la préparation se passe bien. Le maintien du semi de Paris début de septembre prouve que la situation s’améliore et que le marathon devrait avoir lieu. Je cours le semi à allure marathon (base 4h) jusqu’au 15ème puis accélère pour finir en 1h52, avec de très bonnes sensations, malgré la chaleur. Tout se présente donc bien pour le marathon.
Après ce roman (désolé…), passons donc au fameux marathon. Après le semi, la préparation s’est déroulé sans problème (sorties longues…) malgré une période de rentrée particulièrement chargée pour moi au niveau professionnel (gros projet) et personnel (rentrée scolaire, travaux chez moi…).
A J-10, gros stress : tout le monde est très enrhumé à la maison, sauf moi. Si j’attrape le rhume à une semaine de la course, ça va être galère. Mardi dernier, J-5, je me réveille avec un début de mal de gorge, qui s’intensifie mercredi et jeudi. Je ne me sens pas vraiment bien et, à ce stade, me demande si je vais être en mesure de courir le marathon. Je passe une mauvaise nuit et ne suis pas vraiment en forme vendredi. Samedi, ça va un peu mieux et je sais que je pourrai prendre le départ...
Je relis « Courir en compétition » de Cottereau pour me remettre les fondamentaux en tête et me sens plutôt serein.
Jour J : réveil à 6h30 pour prendre le petit déjeuner puis repos avant de me préparer. J’ai légèrement mal à la tête mais ne prends rien, ne sachant pas ce qu’on peut se permettre avant une course. Après un court trajet en transports en commun, j’arrive sur la zone de départ, laisse mon sac à la consigne et me rends dans mon SAS de départ. C’est la cohue pour rentrer dans le SAS mais, ensuite, c’est très clairsemé et confortable pour la dernière pause pipi et prendre la direction de la ligne de départ.
J’enlève mon vieux sweat, il fait frais, et me tiens prêt. Je repense à mon objectif : j’ai bien compris qu’il est hasardeux de se fixer un objectif chronométrique pour un premier marathon et j’ai donc comme principale ambition de finir dans des conditions correctes, sans faire la connaissance du fameux mur. Je prévois cependant de partir sur la base de 4h, on ne sait jamais, si tout se passait comme dans un rêve…
10h20, c’est donc l’heure du départ. Les Champs-Elysées sont très larges, le départ se fait pas vagues de peu de coureurs : les conditions sont donc confortables pour les premières centaines de mètres. Il fait soleil mais le vent est froid et de face pour le départ : pas très agréable. Les tout premiers kilomètres se passent plutôt bien. La boucle par la place Vendôme nous permet de courir à l’ombre et à l’abri du vent. Retour rue de Rivoli. La colonne de la Bastille apparaît à l’horizon. Je sais qu’il y aura le 1er ravitaillement juste après. Cette ligne droite me parait bien longue et cela m’inquiète à plus de 35km de l’arrivée… Au premier ravitaillement, je découvre que, contrairement à ce qu’avaient annoncé les organisateurs, il y a du sucre à disposition. De toute façon, j’ai pris mon stock avec moi et me ravitaille donc pour la première fois, « à la Cottereau ». Deux sucres et arrêt complet pour boire. Je repars et bascule de suite vers la rue de Reuilly et le 1er faux plat montant de la course. Après cette première difficulté, les sensations ne sont pas très bonnes. Je passe le 10ème km dans les temps pour faire 4h, à 2 secondes près, mais je comprends que je ne pourrai pas atteindre cette objectif secondaire. Je bascule donc sur l’objectif initial : courir à mon rythme et tenir sans craquer après le 30ème. De plus, j’ai mal géré mon hydratation d’avant départ et je dois faire une pause pipi dans le bois de Vincennes et je perds donc 30 secondes de plus. La traversée du bois de Vincennes est plutôt agréable avec ombre, relative fraicheur et peu de vent.
Retour dans Paris, deuxième passage à Bastille et arrivée sur les quais. La température commence à l’élever, le vent est dans le dos et il y a peu d’ombre. Je crains la chaleur et me mouille à chaque ravitaillement. Les sensations ne sont toujours pas super, les jambes commencent à faire mal, mais ça tient. Arrivent les fameux tunnels, que je passe sans grosse difficulté en raccourcissant ma foulée dans les montées et descentes. La seule galère des tunnels, ça été de supporter le bruit du groupe de tambours à l’entrée du tunnel des Tuileries, qui raisonne ensuite pendant toute la traversée du tunnel.
Le moment tant attendu, et craint, arrive enfin : ravitaillement devant la Tour Eiffel et passage du panneau des 30 kilomètres. J’entre en terrain inconnu. Si mur il doit y avoir, il peut arriver n’importe quand. D’ailleurs, je double de plus en plus de gens qui marchent. Mais je tiens. 34ème kilomètre, encore un moment attendu est redouté : la dernière bosse s’élève devant moi. Ca passe : la plus grande difficulté c’est de slalomer entre tous les coureurs qui marchent, voire s’arrêtent ou font demi-tour pour ramasser un gel qu’ils ont laissé tomber.
Après le ravitaillement, entrée dans le bois de Boulogne. Un peu plus tard, ma montre vibre : 36ème km couru en 5:30. J’ai peur que ce soit un peu trop rapide. J’essaie de ralentir un peu mais c’est impossible. Je suis passé en mode « robot » et mes jambes me semblent incapables de changer de rythme. Ne reste plus qu’à prier pour que ça tienne. Les lignes droites du bois de Boulogne sont bien longues mais les kilomètres défilent, courus entre 5:25 et 5:30. Je ne zappe le dernier ravitaillement et m’élance pour les 3 derniers km. Je n’en peu plus mais les jambes continuent à tourner. Je passe devant la fondation Louis Vuitton, l’arrivée approche. Ma montre m’affiche 42,2 km parcourus (en 3h59) mais il reste encore 600m. Au rond-point de la porte Dauphine, je vois mes filles débouler à côté de moi… Dernière ligne droite tant attendue, je passe la ligne et arrête le chrono : 04h01mn58s.
Je m’assois. Mes filles me rejoignent et m’apprennent… que je n’avais pas le bon dossard. Au retrait des dossards, la bénévole s’est trompée et m’a donné celui d’un autre. La prochaine fois, je vérifierai… J’ai aussi envoyé à un message à l’organisation pour essayer de récupérer ma performance.
Au-delà de cette petite contrariété, le bilan est ultra positif pour moi. Ma principale satisfaction étant d’avoir réussi à tenir la distance à un rythme régulier, et même plus rapidement après le 35ème kilomètre. A J+1, jambes un peu fatiguées mais moins qu’attendu. Je prévois quelques semaines de coupure/repos avant de repartir pour de nouvelles envies en course à pied.
Désolé d’avoir été un peu long mais j’avais envie de faire le bilan de cette course, et de passer le message aux novices comme moi que le marathon n’est pas insurmontable si on s’y prépare sérieusement.
par false (invité) (185.24.186.xxx) le 18/10/21 à 12:36:55
Bravo
par (invité) (87.89.34.xxx) le 18/10/21 à 13:07:19
Le premier marathon c'est le plus fort en terme d'émotions. C'est bien d'avoir pris la peine de noter par écrit ton aventure de ce jour, avec le temps ça se dilue...
par (invité) (92.184.117.xxx) le 18/10/21 à 14:36:31
Dans l’euphorie, je m’inscris à mon premier semi en mars 2019. Je le termine en 1h51 mais avec 20k800 à ma montre GPS : le semi ne devait pas faire la distance officielle
xxxxxxxxxxxx
Comment croire que le gps indique la distance exacte?
Bravo pour ce 1er marathon, pour le dossard il faut toujours vérifier que c'est le bon qui a été remis ainsi que la présence de la bande de chronométrage.
par Sextant (invité) (2a01:cb0d:435:9c00:cef1:58ae:f2e5:xx) le 18/10/21 à 16:11:12
https://duckduckgo.com/?q=fiabilit%C3%A9+mesure+gps&atb=v238-6__&ia=web
https://www.courseapied.net/forum/msg/134021.htm
par llansades (invité) (2001:861:5340:3880:a161:dfba:12b:xx) le 18/10/21 à 16:25:50
Bravo ......
cela ne peut que m'encourager pour mon premier marathon .......en 2022
par (invité) (2a01:cb0d:435:9c00:cef1:58ae:f2e5:xx) le 18/10/21 à 16:41:05
J'espère que celui qui n'a pas pu retiré son dossard (non monsieur, vous l'avez déjà retiré !) n'aura pas traversé la France... ou qu'il aura pu récupéré le tiens (si le bénévole avait miraculeusement fait la même erreur pour lui avec ton dossard) !
;-)
par Ecololo (membre) (109.26.223.xxx) le 18/10/21 à 16:56:00
> Comment croire que le gps indique la distance exacte?
Justement, je ne crois pas en la fiabilité du GPS mais dans toutes mes autres courses, ma montre a affiché une distance supérieure à la distance théorique. Sauf cette fois là avec 400m en mois et j'ai eu un gros doute sur la distance et donc sur ma performance puisque je pensais effectivement mettre 3mn de plus.
par Ecololo (membre) (109.26.223.xxx) le 18/10/21 à 17:00:03
> J'espère que celui qui n'a pas pu retiré son dossard (non
> monsieur, vous l'avez déjà retiré !) n'aura pas traversé la
> France... ou qu'il aura pu récupéré le tiens (si le bénévole
> avait miraculeusement fait la même erreur pour lui avec ton
> dossard) !
> ;-)
Il n'a pas couru avec mon dossard puisque l'application de live tracking affichait que je n'avais pas pris le départ (ce qui a quelque peu inquiété ma famille). Après, effectivement, s'il s'est présenté au retrait des dossards et qu'on lui a annoncé que son dossard avait déjà été retiré, j'espère que l'organisation a pu lui en fournir un autre. Par contre, s'il avait renoncé à courir pour une quelconque raison, il peut quand même télécharger son diplôme. Pour les photos, ça va être plus compliqué :-)
par (invité) (2a01:cb08:60:8900:5830:7723:4dfc:xx) le 19/10/21 à 08:29:33
C'était quel semi marathon?
par gusto (invité) (90.83.158.xxx) le 19/10/21 à 08:59:17
Bravo pour ce premier marathon en 4h00
le compte rendu un peu long, mais certainement du à la fierté d'avoir bouclé ton 1er 42.195 :-)
Perso j'ai trouvé l'orga moyenne, tee shirt bas de gamme, médaille d'une mocheté sans nom, parcours trop ouvert avec passants qui traversent n'importe comment, même vu des motos passer en plein milieu
ravitaillo post course à 100 balles le dossard franchement limite, n'ayant pas fait de course sur route depuis 5 ans nos trails (UTMB) ont quand même un sacré peps en plus .
Par contre, les coureurs sont de mieux en mieux disciplinés, les SAS rendent les quais moins embouteillés et assez fluides, les couleurs automonales étaient top
par spruch (membre) (81.252.77.xxx) le 19/10/21 à 12:38:47
Félicitations !
Toujours un grand moment de boucler son 1er marathon, surtout quand on part comme cela dans l'inconnue, sans trop de repères.
En tout cas, le signe que ta préparation a été bonne, puisque tu le passes sans casse et en terminant plutôt fort !
Bonne récup.
par VINCENT51 (invité) (194.59.180.xxx) le 19/10/21 à 13:17:04
Ecololo peux tu m'indiquer de quelle manière tu as axé ta préparation marathon.
Nombre de sorties par semaine, durée, nombre de kilomètres,type de fractionnés, durée sortie longue.
Merci
par Ecololo (membre) (109.26.223.xxx) le 19/10/21 à 13:40:50
> C'était quel semi marathon?
Semi-marathon des lions à Rueil-Malmaison. Deux boucles, principalement sur les bords de Seine et dans les parcs à proximité.
par Capello (invité) (2a02:a03f:a9ad:500:6d5c:5140:2e32:xx) le 19/10/21 à 16:04:34
Sympa ton texte Ecololo, écrit avec presque pas de fautes,c'est tellement rare ...
Bravo pour ta perf et surtout, bonne continuation.
par Capello (invité) (2a02:a03f:a9ad:500:6d5c:5140:2e32:xx) le 19/10/21 à 16:04:36
Sympa ton texte Ecololo, écrit avec presque pas de fautes,c'est tellement rare ...
Bravo pour ta perf et surtout, bonne continuation.
par Caleb (invité) (188.61.241.xxx) le 20/10/21 à 00:05:47
Bravo Eco !
Je m'y connais pas beaucoup mais on dirait que tu te poses les bonnes questions
par Pipo34 (invité) (2a01:cb1d:8c34:af00:fc7a:dc69:fba6:xx) le 20/10/21 à 07:56:51
Bravo Ecololo!
Tu as le respect d'un gars qui en a fait trois mais qui n'a pas réussi à en terminer un bien et toi tu réussis dés le premier, chapeau bas!
par Ecololo (membre) (109.26.223.xxx) le 20/10/21 à 08:44:39
Merci à tous pour vos félicitations, d'autant plus que ma performances reste bien modeste comparée à celles de beaucoup des participants à ce forum.
@VINCENT51 Ma préparation n'a été ni sophistiquée, ni originale.
Pour la préparation du marathon initialement prévu en avril 2020, j'avais choisi un plan 13 semaines 4 séances de Jean-Philippe Brunon, objectif 4h09. La préparation s'es bien passée et, quand la course a été reportée, je me suis dit que je repartirais sur le même plan quand le marathon serait reprogrammé. Et le confinement m'a donné l'occasion de me mettre enfin au gainage et renforcement musculaire ce qui, je pense, n'était pas du luxe.
A la rentrée 2020, j'ai fait une préparation semi, au cas où une course serait organisée en fin d'année (ce qui n'a pas été le cas). J'ai utilisé un plan proposé par Running Addict (cf sujet "Les youtubeurs"), notamment parce qu'il contenait des séances de côtes, toujours dans une logique de renforcement musculaire. Après ce plan et une coupure pendant les fêtes de fin d'année, j'ai continué dans une logique de renforcement musculaire avec notamment des séances d'escalier. Ensuite, et c'est sans doute discutable, j'ai démarré en mars une préparation marathon pour monter en volume de façon structurée. Et j'ai choisi de repartir sur un plan "Running Addict", avec donc des séances de côtes.
Tout s'est bien déroulé également, même si les fractionnés en côte du samedi matin n'étaient pas toujours une partie de plaisir.
L'été est arrivé. J'ai eu la chance d'être en vacances en juillet dans une région avec un peu de relief et ça m'a permis de faire des footings en terrain vallonné. Et c'était le moment de démarrer une nouvelle préparation marathon, en espérant que, cette fois, la compétition serait vraiment au bout.
Je devais choisir entre le plan JP Brunon et celui de Running Addict et j'ai choisi le 2ème que j'avais trouvé plus simple et lisible pour le débutant que je suis. Par ailleurs, l'intégration de séances de côtes dans le plan me simplifiait l'organisation personnelle. Je n'avais pas le temps en cette période ultra chargée au niveau professionnel et personnel pour ajouter du renforcement musculaire aux entrainements de course à pied.
Sans réel objectif de temps, mes deux priorités étaient de faire suffisamment de volume de course et de me préparer à supporter la casse musculaire.
Le plan était donc structuré ainsi :
- Mardi : fractionné, AS5 en début de plan puis AS10 et enfin AS21.
- Jeudi : footing (45mn -> 1h15)
- Samedi : séances de côtes.
- Dimanche : sortie longue avec fractions AS42
J'ai respecté le plan assez scrupuleusement, en allongeant juste un peu, de 5 à 10 minutes, quelques séances. La sortie la plus longue a été de 2h37 (27,3km) après une séance, pas trop dure de côtes, la veille.
Voilà, il y aurait sans doute eu possibilité de faire mieux mais, pour mon niveau, ça a répondu à mes besoins et j’ai pu courir mon premier marathon dans des conditions correctes. Il y a à peine plus de 3 ans, je n’avais jamais couru plus de dix kilomètres…
Pendant le confinement, je me suis acheté le fameux "Daniel's running formula". Je ne l'ai jamais ouvert. Je vais maintenant m'y mettre, pour faire mieux la prochaine fois.
par (invité) (92.184.98.xxx) le 20/10/21 à 08:53:56
Sympa ton texte Ecololo, écrit avec presque pas de fautes,c'est tellement rare ...
xxxxxxxxxx
Capello, on ne peut pas en dire autant pour votre réponse. " Avec presque pas de fautes " est à remplacer par " presque sans fautes ". Il manque l'espace après la virgule et il n'en faut pas avant les points de suspension.
par Capello (invité) (2a02:a03f:a9ad:500:7d7f:572:1cba:xx) le 20/10/21 à 12:36:42
J'ai écrit sur le fond et un peu sur la forme. Vous n'écrivez que sur la forme et vous l'écrivez mal. Dommage quand on verse dans le ratiocinage.
Le guillemet anglais ne nécessite pas d'espace après le signe ouvrant et avant le signe fermant.
par (invité) (2a01:e0a:8f8:7270:9411:e58a:387a:xx) le 20/10/21 à 13:26:24
Ce Capello est sentencieusement con.
par (invité) (2a01:e0a:28e:5db0:205f:6bbf:c26f:xx) le 20/10/21 à 13:34:39
@ (invité) (92.184.98.xxx)
"faute" précédé de "sans" ne prend pas de "s"
Lorsqu'on veut jouer au professeur et que l'on n'en a pas les compétences il vaut mieux s'abstenir, même lorsqu'il s'agit de remettre un capello insignifiant dans le droit chemin.
par (invité) (2a02:a03f:a9ad:500:7d7f:572:1cba:xx) le 20/10/21 à 13:51:31
@ (2a01:e0a:28e:5db0:205f:6bbf:c26f:xx)
Votre connaissance du bon usage de la ponctuation est lacunaire et celui de la majuscule pour les noms propres inconnu.
Pour ce dernier aspect, nul doute que vous estimez marquer de cette façon votre arrogant et illusoire sentiment de supériorité.
par (invité) (87.89.34.xxx) le 20/10/21 à 14:43:07
"parcours trop ouvert avec passants qui traversent n'importe comment"
impossible de mettre des barrières de chaque côté sur plus de 20km de centre ville. Et puis tu sais, y a un million de gens qui vivent à Paris et ils ont le droit légitime de vivre leur vie, c'est à dire traverser une rue ou une avenue pour aller faire ce qu'ils ont à faire. Ça dure plus de 3h00 non-stop cette transhumance de veau en basket fluo. Les plus emmerdés ce sont eux, ils n'ont rien demander...
par Ecololo (membre) (109.26.223.xxx) le 20/10/21 à 14:48:29
> Les plus emmerdés ce sont eux, ils n'ont rien demander...
Côté positif de la chose : ils sont obligés de traverser en courant. Ça peut faire naître des vocations de futurs marathoniens ;-)
par (invité) (2a01:cb08:60:8900:11e0:a0ac:ff03:xx) le 20/10/21 à 14:53:38
A Londres le parcours est bloqué par des barrières et il y a des zones pour traverser avec un sas au milieu (ou par les escaliers des stations de métro), c'est bien géré et pareil à Berlin, ça évite les bousculades.
par Thornacien (membre) (37.26.181.xxx) le 20/10/21 à 16:51:49
Bravo pour ce marathon §
Concernant le semi, pour moi le semi de Rueil est labellisé, donc mesuré. Sauf erreur de ma ârt.
Et donc il doit bien faire 21,0975 kilomètres ^^
par (invité) (86.252.55.xxx) le 20/10/21 à 16:57:19
Il manquait 600 mètres en 2016.
par Thornacien (membre) (37.26.181.xxx) le 21/10/21 à 09:12:16
@(86.252.55.xxx)
OK, donc pas labellisé. J'ai perdu une occaz' de me taire ^^
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