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mon premier marathon : Nice-Cannes par antibois (invité) (88.169.214.xxx) le 10/11/08 à 11:32:00
Ben voila c’est fait. Je suis allé au bout et j’ai tenu mon objectif puisque je finis en 3h58’31 mais je pensais pas en baver autant.
Je savais que le marathon était une course à part, une course ou personne, pas même les meilleurs n’ont de certitudes. Nous sommes tous préparés plus ou moins, à nos niveaux respectifs mais ce qui compte c’est les jambes et la tête le jour J.
Et j’y ai repensé à ma préparation le long du parcours, à mon « semi » d’entrainement sur les 20 km de Courir pour une fleur à Antibes il y a 5 semaines où j’avais peiné pour tenir mon allure marathon de 5’41 /kilo, et les derniers entrainements ou je semblais flotter dans une bulle et je tenais mon rythme marathon à 75% fcm sans difficulté avec une foulée aérienne ce qui aurait pu présager un début de course relativement aisé.
Mais la mécanique humaine si belle soit telle n’est pas prévisible et quelle ne fut pas ma surprise de voir qu’après un premier kilo super lent 6’20 ! (pour un objectif 4h , le rythme est 5’41 /kilo) mon cœur était déjà à 158 soit 82% fcm. Certes je suis revenu dans mon rythme dès le deuxième kilo avec un pulsation à 80%fcm mais j’étais pas vraiment dans mon assiette. Premier ravito, je frise la catastrophe , en ne voulant pas m’arrêter mais juste ralentir , j’ attrape un sucre et un bout de banane sur une table mais je ne vois pas la peau de banane et le sol mouillé juste devant moi. Je part en grand écart et lorsque je me rétablit mon genou gauche est bien douloureux. Je ne panique pas en me disant que tant que tout ca reste bien chaud, ca devrait aller et c’est le cas, la douleur disparaît progressivement. 7km en 40’12 donc toujours un peu en retard sur mon temps de passage mais rien de bien grave. 8km et là stupeur, le point de côté ou plutôt une bonne douleur sur le bas du ventre. Je serre un peu les dents et je me dit que ca va passer. La seule chose que j’ai vu passer c’est le ballon des 4h qui me double lentement. 12km , le point de côté n’est toujours pas passé, je suis à une trentaine de mètre du ballon 4h, je décide de m’arrêter, pisser un coup et essayer de faire passer ce fichu point de côté. Je repart cette fois-ci à bonne distance du meneur d’allure (environ 40s) et je me dit que la plus belle connerie à faire serait de revenir trop vite. Je grignote alors lentement mon retard environ 5s par kilomètre et ca marche plutôt bien puisque je recolle au peloton du meneur d’allure à l’entrée d’Antibes. Un petit coucou à la famille qui s était posté là comme convenu kilomètre et je repart dans le groupe …et avec mon point de côté qui n’est toujours pas vraiment parti (un peu normal je n’ai pas vraiment beaucoup ralenti).
Mais j’ai réintégré le groupe des 4h qui au niveau du semi est fort conséquent.
Je passe au semi en 1’59’50’ à mon chrono. Je suis donc dans les temps de mon objectif Là , je me dit que c’est quand même plutôt mal engagé pour avoir lu bon nombre de temoignages sur ce forum de coureurs qui se sentaient super bien jusqu’au semi ou au 30 et qui en ont bavé ensuite. Je me dit qu’avec mon point de côté que je me traine depuis pas mal de kilomètre, ca va pas le faire et je vais pas pouvoir continuer à suivre le meneur d’allure. Ca ne peut qu’aller en se détériorant d’autant plus qu’entre le 15ème et le 20ème, j’étais déjà à 85% fcm. Mais on passe alors sur un terrain que je connais bien puisque je m’entraîne régulièrement à Antibes vers le cap et je dois dire que c’est un avantage car je connais les moindres bosses. Ca me remonte le moral. Dès les premières petites bosses, je me plie en deux pour essayer de garder le rythme tout en essayant de gérer le point de côté. J’ai souvent remarqué que mes points de côté disparaissent ou s’atténuent si je masse ou que j’exerce une pression sur le ventre. Je me souviens aussi alors d’un commentaire lu sur le site disant qu’une explication possible des points de côté étaient un afflux de sang excessif vers la foie ou la rate. Peut être que le massage aide à évacuer ce sang … ou c’est juste psychologique. 23km, on double un gars qui marche en parlant au téléphone et je comprends qu’il est en train dire à sa femme qui l’attend à l’arrivée qu’il veut abandonner et retourner à la gare d’Antibes. Je n’ai même pas le temps de compatir une fraction de seconde que je l’entend dire « tu te rend compte que je viens même de me faire doubler par les 4h ». Ca me booste le moral en me disant que je préfère finir dans mon temps de merde de 4h que de marcher des le kilomètre 23 comme ce pauvre arrogant. Arrivé au ravito du 25km , en bas de la côte , je me dit que c’est vraiment l’heure de vérité. Notre meneur nous parle pas mal et nous dit qu’à partir de là il faut gérer par tranche de 5km de ravito en ravito, essayer de tenir le rythme puis aviser. Son style me convenait bien car il prenait son temps aux ravitos, marchant de la première table à la dernière. La côte du 25km est donc vite avalée puisque les deux tiers sont faits en marchant. Ce ne sera pas le cas de la deuxième où je commence à souffrir mais je tiens bien le coup. Et puis c’est bêtement mathématique mais si on marche 30 secondes à chaque ravito tous les 5 km c’est que le rythme entre les ravitos est supérieur à son rythme normal et c’est paradoxalement sur le plat et les descentes que j’ai le plus de mal à rester dans l’allure. Mais les paroles du meneur me trottent dans la tête, « tenir jusqu’au prochain ravito et aviser… ». de 25km à 30km , ca va encore bien avec l’entrée dans Juan les pins et pas mal de public qui encourage. Je regarde avec émotion la ligne des 28 km en me disant que ca y est je suis définitivement dans l’inconnu puisque je viens de dépasser la distance de ma sortie la plus longue d’entrainement. Ce qui me réconforte peu c’est de voir mon cardio dériver de plus en plus et de s’approcher inexorablement des 90% fcm oscillant entre 88-89%. Je me dit que je suis trop tôt dans la course trop haut en fc et que je vais le payer …A partir du 30km , c’est vraiment très dur mais je trouve un peu de réconfort en doublant un paquet de monde … même si je compatis car c’est dur pour tout le monde et au fond de moi je souhaiterai qu’un bon nombre de ces doublés puisse accrocher le wagon. Malheureusement il n’en est rien et notre groupe rapetisse à vue d’œil malgré les encouragements du meneur qui continue à faire l’appel de ses troupes pour voir si tout le monde suit. « tu es toujours là Virginie …et il est où Christian ? » mais chaque kilomètre c’est un peu moins de monde qui répond à l’appel. Entre 30 et 35 km c’est paradoxalement là que j’ai été le plus près de m’arrêter car mon corps me suppliait d’arrêter le supplice et ma tête avait du mal à le convaincre car nous étions encore loin de l’arrivée. Je sentais déjà des larmes monter sans savoir si c’était en anticipation d’un abandon ou d’une joie énorme d’aller au bout.
Passé le ravito du 35ème , là je me suis dit que qu ce n’était plus possible d’abandonner ou de marcher … que ce serait trop con d’avoir tant souffert pour rien …ou de manquer mon objectif de pas grand-chose. Et mon raisonnement «était de me dire que si je ralentissait pour finir en 4h10, je souffrirai 10 minutes de plus donc autant en finir …
Je m’énerve un peu contre un gars qui me bouscule et arrête mon cardio dans la bousculade mais ca me permettra plus tard de savoir que j’ai fais les dernières 40 minutes à exactement 90% fcm
Le meneur continuait d’haranguer ces foules avec des « allez, il faut plus calculer, il faut y aller ». Il avait toujours aussi un mot d’encouragement pour ceux qu’on doublait et que l’on entendait pester « putain c’est le ballon des 4 h ». Il leur disait tout de suite qu’il était en avance d’une minute sur l’objectif et qui s’ils arrivaient à le garder au moins en point de mire ils finiraient sous les 4h. Et puis c’est enfin la croisette et le palais des festivals qu’on voit au bout de l’anse. Je me rend compte que je n’ai pas vu mon temps au kilomètre 40 et que le ballon des 4 heures était parti derrière moi donc il faut que j’essaye d’accélérer pour être sûr de finir sous les 4heures. J’ai l’impression d’accélérer (même si la vidéo faite par ma femme et visionnée a posteriori me donnera l’impression que j’avance pas). Mais le verdict est là 3h58’32’ à mon chrono donc un négative split (1’59’50 +1’58’42’) malgré le point de côté trainé sur plus de 30 km. Je découvrirai plus tard dans la journée que j’ai doublé 2000 personnes entre le semi et l’arrivée progressant environ de la 5900 ème place à 3800 ème. Juste passé la ligne, je voulait me retourner pour remercier le meneur des 4 heures car il n’y a aucun doute que sans lui je n’aurai jamais trouvé la force de repartir sur le même rythme après les ravitos, et j’aurais probablement marché. Il s’appelait Thierry me semble t’il mais je ne le vois déjà plus, d’ailleurs je ne vois plus grand chose et je titube lamentablement. J’arrive à peine à marcher jusqu’aux tables ou sont les bouteilles d’eau, j’en attrape une et je m’adosse à une barrière assis avant de fondre en larme. Ma femme me retrouve à ce moment là avec mes parents mais ils ne comprennent pas ce mélange de douleur et de bonheur …. C’est bien ca d’être marathonien, ca ne s’explique pas, ca se vit…
mon premier marathon : Nice-Cannes par krysalide (membre) (84.101.17.xxx) le 10/11/08 à 11:44:05
Félicitations vraiment!
Moi aussi nice cannes était mon 1er marathon, j'ai souffert le martyre pendant plus de 21 km à cause d'une douleur au mollet et au tibia qui m'a tenu dès le 2eme km et jusqu'au 42 eme avec une intensité grandissante (douleurs circulatoires qui m'ont contrainte à couper l'entrainement il y a 3 semaines...), les descentes ressemblaient à l'enfer (et il y en avait qqs unes dans cette deuxième partie).. mais j'ai tenu bon, jusqu'au bout uniquement avec la tête (pas de probleme de souffle en fait vu l'allure ridicule (j'ai meme marché pendant 3 km environ...)et J'AI FINI.....en 5h08... temps que je trouve minable mais les gens autour de moi sont sympas, tout le monde me félicite...
mon par bistitiangumn (invité) (58.65.235.xxx) le 10/11/08 à 11:44:44
Àìåðèêàíñêàÿ êîìïàíèÿ íàáèðàåò ñîòðóäíèêîâ äëÿ óäàë¸ííîé ðàáîòû.
Áàçîâîå çíàíèå àíãëèéñêîãî ÿçûêà îáÿçàòåëüíî.
Ðåçþìå ñëàòü íà rabota2008usa@gmail.com
mon premier marathon : Nice-Cannes par antibois (invité) (88.169.214.xxx) le 10/11/08 à 12:02:36
@ krysalide
tu parles de gens sympa , il y en avait beaucoup sur le bord de la route.
et pour ce qui est des 5h08 et du niveau de chacun, moi je part du principe c'est ce qui est dur dans la souffrance du coureur à pied c'est la durée de cette souffrance donc on peut être aussi, sinon plus, admiratif de quelqu'un qui finit en 5h08 et qui en a bavé tout le long que de quelqu'un qui finit en moins de 3h.
J'admire celui qui finit en moins de 3 heures pour sa perf et celui qui finit en 5-6 heure pour son courage ... et il y a un paquet de monde entre les deux qui méritent tout autant d'admiration.
mon premier marathon : Nice-Cannes par krysalide (membre) (84.101.17.xxx) le 10/11/08 à 12:07:11
C'est vrai qu'il y avait une super ambiance sur ce marathon et un paysage magnifique
mon premier marathon : Nice-Cannes par vincent (invité) (82.232.112.xxx) le 10/11/08 à 13:17:30
J'en ai chié, les ravitos étaient pas top, et la deuxième partie plus dure que prévu. Hier je ne voulais plus entendre parler de sport... Mais j'ai déjà décidé de remettre ça à Paris. C'est grave docteur ?
mon premier marathon : Nice-Cannes par tido (invité) (77.196.160.xxx) le 10/11/08 à 13:56:39
bravo pour ton 1 marathon
moi aussi j ai fais antibes et je reviendrais superbe course
mon premier marathon : Nice-Cannes par Max-imum (invité) (62.202.39.xxx) le 10/11/08 à 14:11:03
Bravo pour ton 1er marathon, belle galère, ça promet pour l'année prochaine...
Max
mon premier marathon : Nice-Cannes par antibois (invité) (88.169.214.xxx) le 10/11/08 à 17:28:08
Pour le moment, je ne sais pas si je remettrai ca l'année prochaine mais c'est probable. Je ne le sais surement pas encore mais je pense que j'ai attrapé le virus. En attendant c'est repos pour laisser dégonfler mes genoux qui ont doublé de volume (j'en connais un qui va aller à la piscine) et si possible reprise de l'entrainement 1ere semaine de Décembre pour préparer la ¨Prom Classic de Nice début Janvier. L'objectif maintenant est de mieux se préparer pour les courses, voir un podologue pour me faire faire des semelles mieux adaptées à mes problèmes de genoux et à partir de là ca devrait le faire pour battre progressivement tout mes records du 10 k au marathon en passant par le semi.
Pour l'organisation du Nice-Cannes, un grand merci aux bénévoles. Globalement c'était très bien. Si j'avais quelques trucs à améliorer ce serait les 2 premiers ravitos, les épongeages où il ne restait plus une éponge et le point rencontre qui était inaccessible car de l'autre côté de la course.
mon premier marathon : Nice-Cannes par Loïs (invité) (217.77.224.xxx) le 10/11/08 à 17:39:04
Bravo pour ton 1er Marathon !
Et quel récit ! C'est d'une extrême précision et c'est marrant mais en te lisant on a l'impression de vivre ton émotion !
Encore Bravo
mon premier marathon : Nice-Cannes par dao (invité) (86.193.26.xxx) le 10/11/08 à 18:07:12
Non krysalide ce n'est pas un temps minable l'essentiel c'est le dépassement de soi tu avais un objectif finir ce marathon et tu l'a réalisé Tu écrits dans les derniers km c'étaient l'enfer mais l'arrivée sous les "vivas" ça devait-être le paradis .J'admire ton courage "CHAPEAU BAS" et toute mes félicitations
mon premier marathon : Nice-Cannes par tiois (membre) (205.151.208.xxx) le 10/11/08 à 18:23:40
Bravo pour ton marathon, et merci pour ton témoignage, c'est très amusant à lire.
J'ai deux marathons à mon actif et chacun est différent.
Je peux affirmer que dans un marathon, la préparation physique est important, mais une grosse partie de la course se déroule avec le mental. Et toi, tu en es la preuve !
On se parle tout le long de notre course, on s'encourage, on se motive, et surtout au 35km... on ne peut pas lâcher après en avoir donné autant.
Et surtoût, quelle joie lorsqu'on franchit la ligne d'arrivée, j'ai commencé à pleurer 1km avant la fin à mon premier marathon, j'étais tellement content et tellement fier de moi.
Mon premier marathon a été terminé en 3h34 et mon 2e, en 3h35 puisque j'ai souffert de crampes aux deux mollets pendant les 10 derniers km, à 32.2km, je m'enlignais pour un 3h15 facile (le parcours du marathon est très difficile).
Bravo !
mon premier marathon : Nice-Cannes par filou59 (invité) (82.127.204.xxx) le 11/11/08 à 17:46:48
Bravo pour ton récit et pour ton 1er Marathon < 4H !
mon premier marathon : Nice-Cannes par le breizh (invité) (82.245.183.xxx) le 11/11/08 à 18:21:03
Un grand Bravo!
Merci pour ce recit, il est vraiment plaisant a lire!
J'espere avoir ton courage et ta volonté pour mon premier marathon a Paris!
encore BRAVO!
mon premier marathon : Nice-Cannes par Antibois (invité) (88.169.214.xxx) le 11/11/08 à 18:28:16
Ce qui me semble important c'est de faire de son mieux le jour J à son niveau, avec ses moyens.
Il est clair que dans mon cas, en ayant déjà souffert dans le premier semi, je suis assez content d'avoir tenu et même accéléré sur les 12 derniers kilos. Mais je ne me leure pas, sans le meneur d'allure, je n'aurai surement pas réussi.
Pour faire mieux , il faudra travailler car même si le mental est important pour tenir et ne pas lacher le morceau, il faut quand même que l'état de forme du moment te permette d'avoir un rythme en adéquation avec ton objectif ... et les jours sans , ca peut arriver...
mon premier marathon : Nice-Cannes par olive (invité) (90.52.98.xxx) le 11/11/08 à 19:36:33
a l antibois superbe récit de ta course et bravo pour ton courage,car méme si moi aussi j ai souffert pour finir( 2h47m33s)je nai pas eu de probléme physique, jai beaucoup d admiration pour tout ceux que j ai vu ariver aprés moi ,dans les dernier kms se tordant de douleurs mais voulant a tout prix passer la ligne, et c est vrai que passer 4 ou 5 heures sur le bitume cela doit etre terible pour le moral,mais aujourd hui tout ceux qui ont fini ce marathon doivent rien regréter de leurs course et de leurs performance, chaque marathon a sa vérité
mon premier marathon : Nice-Cannes par JP75018 (membre) (82.224.218.xxx) le 11/11/08 à 20:40:48
Bonsoir Antibois et bravo à toi! Faire un negative split dans ces conditions il faut le faire!
C'était mon 2eme marathon et j'ai gagné 30 minutes tout en me faisant moins mal et avec l'impression d'avoir juste couru un semi le lendemain, tu vas pouvoir tirer les enseignements de ce baptème et progresser!
JP
mon premier marathon : Nice-Cannes par Max84 (invité) (79.82.176.xxx) le 11/11/08 à 21:35:13
C'est clair faire un négative split fallait le faire. Pour mon second marathon j'ai amélioré mon temps de près de 20 mn pour finir en 3h56. Connaissant le parcours maintenant j'espère faire mieux l'année prochaine et en garder sous le pied pour le second semi...
par bibabou84 (invité) (2a01:cb1c:9ee:1500:31c8:7b7e:feb5:xx) le 08/09/22 à 23:12:39
Bonjour,
Merci pour votre récit dans lequel j'ai pu m'imprégner et quelques part ressentir vos émotions.
Je me prépare pour mon 1er Marathon et justement celui de Nice/Cannes et la fameuse bosse des 25km :D
J'en suis sur maintenant je vais en chier mais je suis déter ;)
bien à vous
par (invité) (37.166.6.xxx) le 09/09/22 à 10:29:59
La bosse du 25eme n'est pas si terrible que ça. Et après ça descend...
Il faut si possible intégrer une belle bosse à la fin de ces sorties longues pendant la prépa pour bien se préparer.
Le plus dur sur ce marathon ce sont les raffales de vent si la météo n'est pas clémente
par (invité) (93.31.51.xxx) le 11/09/22 à 14:45:00
oui cette bosse est un peu difficile mais ensuite ça redescend bien donc pas d'inquiétude!
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