Poésie et course à pied

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Poésie et course à pied par Géraldine (invité) (88.163.229.xxx) le 18/01/12 à 21:59:33

Coucou, amoureuse de cap, je voudrais votre avis sur ce poème ! Ça change un peu des questions techniques !!!!


Tu cours vers le partage
Ton cœur toujours à l'ouvrage
Celui qui te croise vit,
Sourit, de ta bonté se nourrit 

Tu cours vers le bonheur
Même les anges te jalousent
Audacieux, tu es à la hauteur
Des espérances d'une épouse

Tu cours, vite, sur le monde
Solitaire averti
Aguerri,meurtri
Humble voleur de secondes

Tu cours un semi vers moi
Ce jour tout vole en éclats
Guitares, trompettes ou tambours
Ce jour là tout devient velours

Tu cours dans le vent
Le sourire aux baskets
Narguant l'insolence du temps
Qui admire ta silhouette

Je cours vers toi l'ottoman
Le sourire aux lèvres
Narguant l'insolence du temps
Qui m'offre une folie brève 

Tu cours sur les pas de Gandhi
Des docks à Paris,
Le hasard fut piétiné même 
Par la joie de tes foulées zen

Tu cours vers saint Michel
La poésie de tes pas m'émerveille
Quand je te vois, te sens, et t'entends
Je souris comme un soleil 

Poésie et course à pied par TLS (invité) (84.99.10.xxx) le 18/01/12 à 22:02:22

Pour continuer sur la poésie

http://objectif-73km-trail-des-citadelles.over-blog.fr/article-un-peu-de-poesie-87853350.html

Poésie et course à pied par Géraldine (invité) (88.163.229.xxx) le 18/01/12 à 22:08:19

Très beau poème TLS, l'inspiration était au RDV!

Poésie et course à pied par (invité) (84.100.187.xxx) le 18/01/12 à 22:55:24

franchement bel effort, je dit pas, mais c'est pas terrible.

Poésie et course à pied par (invité) (80.214.8.xxx) le 19/01/12 à 07:33:42

Merci pour la franchise!

Poésie et course à pied par (invité) (86.204.192.xxx) le 19/01/12 à 10:49:11

si tu es en cm2, c'est pas mal.
sinon faut perséver ou tout arreter

Poésie et course à pied par Moundir (invité) (64.208.49.xxx) le 19/01/12 à 10:51:57

POURQUOIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!!???????

Poésie et course à pied par (invité) (80.214.8.xxx) le 19/01/12 à 11:50:10

Pourquoi quoi?????

Poésie et course à pied par (invité) (90.40.179.xxx) le 19/01/12 à 12:07:43

Géraldine la parnassienne moi je trouve cela bien.Continue.

Poésie et course à pied par Geraldine (invité) (80.214.8.xxx) le 19/01/12 à 12:17:41

Merci..c un poeme damour!

Poésie et course à pied par (invité) (90.0.166.xxx) le 19/01/12 à 12:26:19

"Merci..c un poeme damour!"

Dommage, ça gâche le reste.
Du coup on est plutôt proche de l'art pour lard.

Poésie et course à pied par (invité) (195.220.103.xxx) le 19/01/12 à 12:26:41

C'est courageux de s'exposer à la critique.
Les rimes sont pauvres, les pieds s'emmêlent dans une foulée cahin caha, le fond est naïf comme l'amour aveugle, mais il en ressort une bien jolie petite musique.

Poésie et course à pied par jean-luc (invité) (90.84.144.xxx) le 19/01/12 à 12:28:58

Moi ça m'existe tout ça.

Poésie et course à pied par jean-luc (invité) (90.84.144.xxx) le 19/01/12 à 12:29:28

Excite, pardon.

Poésie et course à pied par (invité) (90.40.179.xxx) le 19/01/12 à 13:38:47

Tiens Géraldine un poème sur la course à pied que j'adore.


Dernier album de Bernard Lavillier.



Résonner mes pieds sur l'asphalte
Souffle tapant dans mes tympans, je cours
Allongée la foulée de rêve
Je suis plus dans le marche ou crève, je cours
Entre les blocs entre les grilles
Et dans l'intérêt des familles, je cours
Je déroule le tissu urbain entre Italie et Pantin, je cours
Et puis la montée d'endorphine
C'est meilleur que la cocaïne, je cours
Je cavale dans le monde entier
Et personne ne me court après
Jamais... Je cours
Maintenant plus rien ne m'arrête
Je suis un nuage une flèche, je cours
Il y dans le creux de mes reins
La locomotive des reins, je cours
Mes poumons ont de l'amplitude
Je vais prendre de l'altitude je cours
Comme un forcené un dément
Contre la montre à contre temps, je cours
Mes tendons me tapent sur les nerfs
Mes chaussures ont des coussins d'air, je cours
Je cours plus vite qu'une balle
plus vite qu'une attaque cérébrale, je cours, je cours
Sur les toits de ce vieux Parnasse
Sur les traces de Fantômas, je cours
Surtout lorsque le jour se lève
Sur les chômeurs et sur la grève, je cours
Au-delà du bien et du mal
Je peux vous dire que ça fait mal, je cours
Résonner mes pieds sur l'asphalte
Souffle tapant dans mes tympans, je cours
Allongée la foulée de rêve
Je suis plus dans le marche ou crève, je cours
Entre les blocs entre les grilles
Et dans l'intérêt des familles, je cours, je cours
Je cours toujours plus vite, je cours
Toujours


"les pieds s'emmêlent dans une foulée...." tu vois là aussi.Arf


Poésie et course à pied par (invité) (82.124.134.xxx) le 19/01/12 à 13:44:03

svp epargnez nous ces fadaises! pour montrer sa prose, il existe des sites specialises , voirs s'inscrire à des concours mais là,courez plus vite ou ecrivez mieux!

Poésie et course à pied par (invité) (90.0.166.xxx) le 19/01/12 à 14:03:06

Hé ! machin, va chez les énervés, ça te calmera.

Poésie et course à pied par (invité) (193.49.162.xxx) le 19/01/12 à 14:09:46

j'ai écris un poème, ça s'appelle "Je cours"

Je cours cours cours
cours cours et recours
Je cours cours cours
cours cours et encore cours
Je cours cours cours
cours encore et encore cours
Je cours cours cours
cours cours, cours.

Vous aimez ? :)
C'est ce qu'il se passe quand je cours !

Poésie et course à pied par fred2866 (membre) (83.202.86.xxx) le 19/01/12 à 14:15:08

J'aime pas c'est trop court ....

Poésie et course à pied par (invité) (217.70.85.xxx) le 19/01/12 à 14:17:15

bravo à 193.49.162 qui fait des rimes riches pas croyab! ta gagné une inscription a vie chez les turtles ;)

Poésie et course à pied par D'''''''N (invité) (90.25.112.xxx) le 19/01/12 à 14:24:58

Un train qu'a pas d'heure
Qui ira vers demain,
Sur le quai, l'horloge est fleur,
Dans sa poche, l'homme met la main.

Un horizon de lumière
Dans la nuit étoilée
Sous le grand pont de pierre
l'accordéon pleure... des notes fêlées.

Qu'a t-il dans son poing,
Un mouchoir d'adieu,
Des larmes de loin
Une tristesse de vieux?

Près du quai, le rail apporte
Une poésie voyageuse.
L'homme ouvre sa porte,
Accueille l'oeuvre audacieuse.

La fleur qu'a des heures
Tout plein ses pétales,
Donne un instant de bonheur
A l'homme. Pensée vitale.

Poésie et course à pied par (invité) (77.198.169.xxx) le 19/01/12 à 14:42:06

D...N, tu lui récites des vers à ton bouc? ;)

Poésie et course à pied par D'''''''N (invité) (90.25.112.xxx) le 19/01/12 à 14:48:19

Oui mais il chiale pendant 1 heure après. Soit c'est un grand émotif, soit il se paye ma tronche!

Poésie et course à pied par AmadeusZart (invité) (78.119.4.xxx) le 19/01/12 à 21:23:53

Trouant la nappe blanche
De foulées nues affolées
Brulées par la revanche
De la disparue de l’année

La chair glacée écarlate
Au rythme fou s’accélère
Mais rien ne s’acclimate
A ce grenat qui dégénère

La paire toute aiguillée
D'un risque déraisonnable
Ultime hymne à une liberté
Qui n’est guère abordable

Elle condamnerait les dix
Ou les deux à être tranchés
Pour un peu que mes phénix
En aient déjà trop abusés

Poésie et course à pied par geraldine (invité) (80.214.0.xxx) le 20/01/12 à 00:10:10

Bon vous etes durs! Mais j'en prends bonne note pour progresser: mes baskets m'inspireront peut etre!

Poésie et course à pied par jamphy (invité) (93.16.100.xxx) le 20/01/12 à 00:25:16

géraldine...contrairement aux olibrius précédents sache que je fais de le course à pied comme toi, je serai bien évidement heureux de partager une agréable sortie avec toi...
qu'en penses-tu ?

Poésie et course à pied par (invité) (80.214.0.xxx) le 20/01/12 à 00:31:48

Tu veux que je te récites des poemes en courant avec toi??

Poésie et course à pied par geraldine (invité) (80.214.0.xxx) le 20/01/12 à 00:32:39

Tu veux que je te recites des poemes? En courant avec toi?

Poésie et course à pied par jamphy (invité) (93.16.100.xxx) le 20/01/12 à 00:46:10

géraldine réfléchie... je peux être ton poëte du matin...

Poésie et course à pied par Geraldine (invité) (80.214.0.xxx) le 20/01/12 à 00:51:45

Attends je reflechis.....
Ba non merci!!! (ca rime!!)
Sinon ton avis sur mon poeme? La chanson de Lavilliers est magnifique...

Poésie et course à pied par jamphy (invité) (93.16.100.xxx) le 20/01/12 à 01:04:32

pas d"avis je suis trop 1 culte ...sinon tu peux venir sur ça m'énerve...on est une bande de jeunes dont certains ont fait poësie 2ème langue..ils sont très forts même que quand lolo en parle ça fait iech tout le monde...
Bon à toi de voir...

Poésie et course à pied par (invité) (82.244.98.xxx) le 20/01/12 à 01:25:15

Rien n'est plus fort qu'être en scène
Petite chenille j'rêvais déjà
Exister, montrer à ceux que j'aime
Ô Combien tout ça était inscrit en moi

Les filets qu'on me tend
Les pièges de ces gens
Les obstacles au-devant
J'passe au travers

Les mots lourds et blessants
Les langues de serpent
Ne sont qu'une suite de paroles en l'air

Refrain :
Papillon de lumière
Sous les projecteurs
Papillon de lumière
Revit dans vos cœurs
Papillon de lumière
Garde tout son mystère
Papillon de lumière
N'a plus rien d'éphémère.

Je me donne telle que je suis
Sans chercher à tricher face à vous
Même mes larmes ne sont que d'l'eau depuis
Paroles trouvées sur www.tictacflo.com
Qu'un beau jour je vous ai tout confié de moi

Les filets qu'on me tend
Les pièges de ces gens
Les obstacles au-devant
J'passe au travers

Les castings éprouvants
Les cris "au suivant"
Ne sont que des barrières à mes prières

Refrain

Cette énergie en moi
Qui brûle de partout
Je n'veux que la partager
Avec vous

Refrain

Poésie et course à pied par pizzzi (invité) (195.83.253.xxx) le 10/10/13 à 16:22:48

La foulée


Puissante, élégante, elle s’envole vers l’azur,
Elle se pose par instants, séductrice et légère.
Sur la terre molle ou sur le bitume le plus dur,
Tout en cadence elle se fige jusque haut dans les airs.

.
Sous la pluie, sous le soleil le plus implacable
Comme une bobine ivre libérée de son fil,
Longiligne ou ramassée son cycle est imperturbable.
Elle y signe le sol de son empreinte indélébile.

Les rochers et le sable sont d’insaisissables miroirs
Où se reflètent ses appuis et ses amortis dans un cycle immuable.
Elle y déroule ses charmes, en cadence jusqu’à la nuit noir,
Elle se libère sans fin, féline et indomptable


De tous temps entre les barbelés et les balles en aciers,
Soudainement, fauchée, son envol a souvent été interrompu,
Très vite relayée par d’autres foulées effrayées.
Son deuil est ainsi célébré, dans une nuée désordonnée de milliers de petits pas perdus.

Sur la route, les chemins, à toutes saisons se joue la même scène
Où la foulée, qu’elle soit kenyane, américaine, Asiatique ou Ibère
S’emballe sur les hauts plateaux ou sur les quais de seine.
Applaudit ou anonyme, sous Vittel ou endorphine jamais elle ne décélère.

Les rochers et le sable sont d’insaisissables miroirs
Où se reflètent ses appuis et ses amortis dans un cycle immuable.
Elle y déroule ses charmes, en cadence jusqu’à la nuit noir
Elle se libère sans fin, féline et indomptable.

Poésie et course à pied par pizzzi (invité) (195.83.253.xxx) le 10/10/13 à 16:25:58

La foulée

Puissante, élégante, elle s’envole vers l’azur,
Elle se pose par instants, séductrice et légère.
Sur la terre molle ou sur le bitume le plus dur,
Tout en cadence elle se fige jusque haut dans les airs.

.
Sous la pluie, sous le soleil le plus implacable
Comme une bobine ivre libérée de son fil,
Longiligne ou ramassée son cycle est imperturbable.
Elle y signe le sol de son empreinte indélébile.

Les rochers et le sable sont d’insaisissables miroirs
Où se reflètent ses appuis et ses amortis dans un cycle immuable.
Elle y déroule ses charmes, en cadence jusqu’à la nuit noir,
Elle se libère sans fin, féline et indomptable


De tous temps entre les barbelés et les balles en aciers,
Soudainement, fauchée, son envol a souvent été interrompu,
Très vite relayée par d’autres foulées effrayées.
Son deuil est ainsi célébré, dans une nuée désordonnée de milliers de petits pas perdus.

Sur la route, les chemins, à toutes saisons se joue la même scène
Où la foulée, qu’elle soit kenyane, américaine, Asiatique ou Ibère
S’emballe sur les hauts plateaux ou sur les quais de seine.
Applaudit ou anonyme, sous Vittel ou endorphine jamais elle ne décélère.

Les rochers et le sable sont d’insaisissables miroirs
Où se reflètent ses appuis et ses amortis dans un cycle immuable.
Elle y déroule ses charmes, en cadence jusqu’à la nuit noir
Elle se libère sans fin, féline et indomptable.

Poésie et course à pied par AmadeusZart (invité) (78.119.255.xxx) le 10/10/13 à 20:38:02

Je vais t’écrire
Quelques fadaises
Des mots qui tombent
De ma falaise.
.................
................
===========================
T'1, ta gueule le Z'art, y'a J F Coppé qui va causer dans le poste!!!! Non en fait Mozart continue de raconter tes conneries, moi je vais me coucher!!

Bisous. Demain SL allure 42,

Poésie et course à pied par (invité) (82.124.14.xxx) le 10/10/13 à 21:12:07

Sur ce forum, Victor Hugo...est mort, re né de ses cendres et re enterré, alors, pas la peine de vouloir rechauffer le bois mort...on evitera ainsi qq dévers de mièvreries

Poésie et course à pied par Moule ou d'gie (invité) (78.119.255.xxx) le 10/10/13 à 21:21:31

Salut baghé. Eh oui tout fout l'camp, les mièvreries peuvent revenir allure VMA, je reste vigilant!!!!Amadeus! lâche ton clavier))))))))

Poésie et course à pied par (invité) (82.124.14.xxx) le 10/10/13 à 21:29:25

;-)))), au secours, Nyda experte es gnangnanteries va reviendre...!noooon, pas ça!

Poésie et course à pied par (invité) (78.119.255.xxx) le 10/10/13 à 21:53:47

)))),);;)
"bon, et bien je vais me préparer à ma séance d'une heure de sport!
très bonne journée à tous, courez bien, vivez bien, et ... souriez!"
Nyda

Sans commentaires ou alors cent commentaires............

Il y aurait tant à dire sur ce texte magnifique, le sym-pathos, un amour qui réconcilierait éros, philia, agapé, Vive Nyda ))))))))

Poésie et course à pied par pizzzi (invité) (195.83.253.xxx) le 11/10/13 à 13:28:54

La foulée

Puissante, élégante, elle s’envole vers l’azur,
Elle se pose par instants, séductrice et légère.
Sur la terre molle ou sur le bitume le plus dur,
Tout en cadence elle se fige jusque haut dans les airs.

.
Sous la pluie, sous le soleil le plus implacable
Comme une bobine ivre libérée de son fil,
Longiligne ou ramassée son cycle est imperturbable.
Elle y signe le sol de son empreinte indélébile.

Les rochers et le sable sont d’insaisissables miroirs
Où se reflètent ses appuis et ses amortis dans un cycle immuable.
Elle y déroule ses charmes, en cadence jusqu’à la nuit noir,
Elle se libère sans fin, féline et indomptable


De tous temps entre les barbelés et les balles en aciers,
Soudainement, fauchée, son envol a souvent été interrompu,
Très vite relayée par d’autres foulées effrayées.
Son deuil est ainsi célébré, dans une nuée désordonnée de milliers de petits pas perdus.

Sur la route, les chemins, à toutes saisons se joue la même scène
Où la foulée, qu’elle soit kenyane, américaine, Asiatique ou Ibère
S’emballe sur les hauts plateaux ou sur les quais de seine.
Applaudit ou anonyme, sous Vittel ou endorphine jamais elle ne décélère.

Les rochers et le sable sont d’insaisissables miroirs
Où se reflètent ses appuis et ses amortis dans un cycle immuable.
Elle y déroule ses charmes, en cadence jusqu’à la nuit noir
Elle se libère sans fin, féline et indomptable.

Poésie et course à pied par dany (invité) (213.39.33.xxx) le 11/10/13 à 13:50:15


au fond des poubelles
j'y ai trouvé de la rouelle
un porc, une impasse un trottoir
une flaque, mon reflet, un miroir

j'ai changé mon protège-slip
ai croisé un drôle de type
il m'a sorti son bout tout court
lui ai proposé un thé et un yaoure

j'ai tiré la chasse machinalement
les chiffres et les lettres c mon calmant
quand mon repas sage est terminé
alors je referme mes volets

une journée c'est avant la nuit
et souvent, allongée dans mon lit
je me caresse la pétoire dans le noir
en me disant vivement deux mains et l'espoir

Poésie et course à pied par (invité) (62.39.128.xxx) le 11/10/13 à 13:57:02

Clappe clappe dany213, 'velous!

Du très bon Dard purc porc!! :))

Poésie et course à pied par dany (invité) (213.39.33.xxx) le 11/10/13 à 14:09:36


merci lolo !
hihihi

Poésie et course à pied par (invité) (62.39.128.xxx) le 11/10/13 à 14:10:58

De rien "la vieille"! :)

Poésie et course à pied par (invité) (213.39.33.xxx) le 11/10/13 à 14:19:19


un chemin, un sentier, des douaniers
je les aime parfumés et de près rasés
je suis une femme à barbe, de tarbes
il m'arrive de serrer une feuille, un arbre

mon corps est flétri par la douche
italienne, telle ma cafetière
qui chauffe, bout et l'ibère
l'arabica, du lait, une touche

je passe ma robe à fleurs d'été
je suis d'humeur, sur mon vélo
à parcourir les champs, avec didier
et à prendre en bouche ce falot

j'aime le sentir contre mes amygales
je n'essuie pas la veuve noire, queue dalle
mon deuil est plus profond
un peu comme les bas de plafond

Poésie et course à pied par (invité) (62.39.128.xxx) le 11/10/13 à 14:58:08

Ah?...ça sent un peu la sueur là!

"L"effort" je veux dire

Tu me diras avec Didier c'est de cire qu'on stance hi hi

Poésie et course à pied par Didier (invité) (93.0.154.xxx) le 11/10/13 à 15:44:13

Je me lève et je te bouscule
Tu ne te réveilles pas comme d'habitude

Alors je m'habille très vite
Je sors de la chambre comme d'habitude

J'enfile un short
car c'est jour de sport
je chausse mes joggings
pour un petit footing

Sans bruit je quitte la maison
Tout est gris dehors comme d'habitude
J'ai froid, je relève mon col
Comme d'habitude

d'une petite foulée rasante
les rues je les arpente
mon corps et mes membres se réchauffant
j'adopte une foulée plus ardente

Puis les kilomètres défileront sous mes pieds
ce plaisir d'avaler avec facilité cette chaussée.

Et puis le tour de finira

Moi je reviendrai comme d'habitude
Toi, tu seras sortie
Pas encore rentrée comme d'habitude
Tout seul j'irai me doucher

Comme d'habitude, toute la journée
Je vais jouer à faire semblant
Comme d'habitude je vais sourire
Comme d'habitude je vais même rire
Comme d'habitude, enfin je vais vivre
Comme d'habitude

Poésie et course à pied par La faucheuse (invité) (80.215.32.xxx) le 11/10/13 à 15:53:12

SchlaaaaaaaaccccKKKKKKKKK plus de bite le Didier je t'avais prévenu pourtant!!!

Poésie et course à pied par La faucheuse (invité) (80.215.32.xxx) le 11/10/13 à 15:53:58

En tout cas sa beat elle faisait plus rire que ces blagues RIP

Poésie et course à pied par Bernard L. (invité) (80.119.71.xxx) le 22/12/13 à 21:40:26

Si tu danses reggae
Si tu danses reggae
Tu balances reggae
Sans défense reggae
S'est spécial reggae
Infernal reggae
Ça commence à cogner
Comme un cœur régulier

I and I love the island in the sun
I and I know when and where I go
But it is so hard to feed my kids
But it is so hard to stand the ghetto

Tout l'monde danse, tu te traînes
Tout l'monde fume et tu bois
Downtown, ça enchaîne
Dans les rhumbars en bois
Quand ça cause le reggae
Ça explose reggae
C'est le seul reggae
Qui déboule reggae

I and I love the island in the sun
I and I know when and where I go
But it is so hard to feed my kids
But it is so hard to stand the ghetto

Derrière les barbelés
Trois rangés bien gardées
Ils attendent de crever
De sortir de braquer
Pour le flingue dans ta poche
T'es coincé à gun court
Jusque-là le reggae
Viendra t'réveiller

I and I love the island in the sun
I and I know when and where I go
But it is so hard to feed my kids
But it is so hard to stand the ghetto

Elle est noire et dorée
Elle est belle à crever
Regarde-la marcher
Et danser son reggae
Fait trop chaud pour chanter
Fait trop soif pour noter
Trop beau pour t'expliquer
Ce qui s'passe dans l'reggae

I and I love the island in the sun
I and I know when and where I go
But it is so hard to feed my kids
But it is so hard to stand the ghetto

Poésie et course à pied par LGF (membre) (213.166.220.xxx) le 11/01/15 à 12:06:23

un peu de poésie
pour ceux qui s'ennuient
et qui de bon matin
sont un peu chagrin...

Poésie et course à pied par Poème pour LGF (invité) (82.246.147.xxx) le 11/01/15 à 12:20:03

A creux de sa lune éclatée

Un puit de brume s'est levé

Je suis resté à genoux près de son trou.

Lorsqu'elle tenait à bout les lèvres de son minou

La soie huilée de sa chaire

faisait de moi un damné lunaire.



Je m'embrumais de sa lagune salée

Pourlèchant sa dune comblée

La bouche confite de ses saveurs

Me ramenant à de pareilles langueurs

d'océan et de marée au matin frais.



J'étais arimé à ses mains, le visage dans sa raie

Raie de lune bombée et brillante

J'arpentais à la plume sa saignée rutilante

Puis remontais sur son détonnateur armé.



Elle tremblait de bonheur et se laissa fouiller

Oh! fit-elle quelle joie au fond de ma noix

Je vais de moi extraire tout mon jus.



Vas-y concentre toi

Et à la fin de sa prière elle mourrut.



Puis elle me présenta sa grande lune par derrière

Deux globes blancs, une garde brune et sans lumière

Va dedant maintenant je m'ouvre encore.



Plein d'élan, le vît conquérent je la pilonais à mort

Mais au creux de sa lune éclatée

Un jet de mes prunes à giclé.



AMISDESMOTS

Poésie et course à pied par LGF (membre) (213.166.220.xxx) le 11/01/15 à 13:53:59

@82.246.147 zatiz ze quaistionne

Très réussi dans le genre !
Mais sur le sujet de la course à pied
c'est ce qui m'aurai fait m'envoler
vers d'autres contrées
qui ne sont pas encore empoisonnées
par sexualité et autres sujets dans le genre.

Mais en parlant de la lune
n'oublie pas zatis ze kaistionne
de participer au défi "terrelune"
avant qu'on ne te questionne sur le forum.

lagenteféminine.

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